La chanteuse lyrique française Narimène. © Capture d’écran France 3 Paris Ile-de-France
Narimène Bey est une talentueuse chanteuse lyrique française qui rêve de percer dans le monde de l’opéra. A 35 ans, cette professeure de français, issue d’un milieu très modeste, a ainsi décidé de se mettre en disponibilité pour une année afin de se consacrer entièrement à la passion qu’elle nourrit depuis sa tendre jeunesse. Mais son talent, indéniable, ne fait pas tout et le chemin qu’elle doit tracer vers le succès est loin d’être facile.
« Visiblement » musulmane, Narimène doit faire face aux préjugés dans le milieu de l’opéra français, trop peu enclin encore à inclure de nouveaux visages. « Ce n’est jamais dit, c’est juste qui je suis qui est un peu problématique », confie à des admiratrices la jeune femme. Elle ne désespère pas pour autant. Malgré les obstacles qui génèrent sans conteste de la frustration, c’est la soif de réussite qui l’emporte. S’il faut aller à l’étranger pour mieux revenir en France ? Elle y est prête, dans l’espoir de faire de son rêve une réalité.
Ce parcours hors du commun, qui porte aussi un bout de l’histoire de l’immigration algérienne en France, est celui que Laure Pradal a choisi de retracer dans le documentaire Narimène, diffusé fin janvier 2024 sur France 3 Paris Île-de-France, et disponible ici.
Lire aussi :
Quand la musique classique devient une alliée de la spiritualité
L’islam face à la musique : l’influence oubliée mais certaine de la mythologie
De La Mecque à l’Andalousie, la musique en terres d’islam
Musique et spiritualité : le Mawlid célébré par Orpheus XXI avec l’Institut des cultures d’islam
Mennel : « La musique délivre des messages de paix et d’amour »
Zahia Ziouani, chef d'orchestre à 32 ans : « Mixité, respect de l’autre : la musique transmet des valeurs fondamentales »
« Visiblement » musulmane, Narimène doit faire face aux préjugés dans le milieu de l’opéra français, trop peu enclin encore à inclure de nouveaux visages. « Ce n’est jamais dit, c’est juste qui je suis qui est un peu problématique », confie à des admiratrices la jeune femme. Elle ne désespère pas pour autant. Malgré les obstacles qui génèrent sans conteste de la frustration, c’est la soif de réussite qui l’emporte. S’il faut aller à l’étranger pour mieux revenir en France ? Elle y est prête, dans l’espoir de faire de son rêve une réalité.
Ce parcours hors du commun, qui porte aussi un bout de l’histoire de l’immigration algérienne en France, est celui que Laure Pradal a choisi de retracer dans le documentaire Narimène, diffusé fin janvier 2024 sur France 3 Paris Île-de-France, et disponible ici.
Lire aussi :
Quand la musique classique devient une alliée de la spiritualité
L’islam face à la musique : l’influence oubliée mais certaine de la mythologie
De La Mecque à l’Andalousie, la musique en terres d’islam
Musique et spiritualité : le Mawlid célébré par Orpheus XXI avec l’Institut des cultures d’islam
Mennel : « La musique délivre des messages de paix et d’amour »
Zahia Ziouani, chef d'orchestre à 32 ans : « Mixité, respect de l’autre : la musique transmet des valeurs fondamentales »