Sur le vif
Un responsable de l'UMP chargé des relations avec les associations de Français issus de l'immigration a proposé mardi au ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy des mesures pour "mettre en adéquation l'indispensable fermeté avec le principe de l'équité" dans le projet de loi présenté à l'Assemblée nationale.
Abderrahmane Dahmane, secrétaire national de l'UMP, demande dans un communiqué "que l'on mette rapidement en oeuvre le projet de l'immigration choisie en régularisant déjà les compétences qui se trouvent dans notre pays en situation de précarité". "Il n'y a pas lieu de changer la réglementation sur le regroupement familial et encore moins la possibilité de permettre à ceux qui ont vécu pendant dix ans dans la clandestinité de se faire régulariser", estime-t-il.
"Moi l'immigré-Français demande à l'ami Nicolas Sarkozy d'accepter que l'on reconnaisse le droit de vivre en France aux héritiers de ceux qui ont participé à sa Libération", ajoute-t-il.
Ces mesures permettraient d'"apaiser le débat", estime M. Dahmane ajoutant que la France a le droit de légiférer sur l'immigration. Il prend la défense de M. Sarkozy, "accusé de chasser sur le terrain de l'extrême droite raciste" alors qu'il fut "l'artisan de la suppression de la double peine" et qu'il propose le droit de vote pour les étrangers aux élections municipales.
Mais "il ne faut pas faire de cette cause un prétexte pour verrouiller toutes les entrées", explique M. Dahmane, car "parmi ceux qui demandent aujourd'hui à venir dans notre pays, on compte les héritiers des combattants de Verdun et de Monte Cassino" ainsi que de ceux "qui ont permis à la France de se libérer de ceux qui ne l'aimaient réellement pas".
Abderrahmane Dahmane, secrétaire national de l'UMP, demande dans un communiqué "que l'on mette rapidement en oeuvre le projet de l'immigration choisie en régularisant déjà les compétences qui se trouvent dans notre pays en situation de précarité". "Il n'y a pas lieu de changer la réglementation sur le regroupement familial et encore moins la possibilité de permettre à ceux qui ont vécu pendant dix ans dans la clandestinité de se faire régulariser", estime-t-il.
"Moi l'immigré-Français demande à l'ami Nicolas Sarkozy d'accepter que l'on reconnaisse le droit de vivre en France aux héritiers de ceux qui ont participé à sa Libération", ajoute-t-il.
Ces mesures permettraient d'"apaiser le débat", estime M. Dahmane ajoutant que la France a le droit de légiférer sur l'immigration. Il prend la défense de M. Sarkozy, "accusé de chasser sur le terrain de l'extrême droite raciste" alors qu'il fut "l'artisan de la suppression de la double peine" et qu'il propose le droit de vote pour les étrangers aux élections municipales.
Mais "il ne faut pas faire de cette cause un prétexte pour verrouiller toutes les entrées", explique M. Dahmane, car "parmi ceux qui demandent aujourd'hui à venir dans notre pays, on compte les héritiers des combattants de Verdun et de Monte Cassino" ainsi que de ceux "qui ont permis à la France de se libérer de ceux qui ne l'aimaient réellement pas".
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