L’Inspection générale de la police nationale (IGPN) a livré les premières conclusions de son enquête concernant la violente interpellation du jeune Théo à Aulnay-sous-Bois.
Selon la police des polices, l’introduction d’une matraque téléscopique dans l’anus du jeune homme de 22 ans est purement « accidentelle »
et n’est pas un viol. LCI rapporte qu’après analyse des images de vidéosurveillance, les enquêteurs ont jugé que Théo ne s’est pas laissé menotter. Les fonctionnaires de police auraient tenté de le maîtriser et que l’un d’entre eux aurait utilisé une matraque pour le mettre à genou. Toujours selon les enquêteurs, aucun des policiers n’a baissé le pantalon de l’Aulnaysien pour introduire la matraque.
L’IGPN reconnaît un « accident grave et réel » mais réfute toute idée de « viol délibéré », en raison d’élément intentionnel. « C’est très grave, indubitablement, ça peut être des violences ayant entraîné une infirmité permanente. Mais ce n’est pas un viol », ont inscrit les enquêteurs dans leur rapport.
Pour l’instant, la juge d’instruction n’a pas encore pu visionner la vidéo de l’altercation. Elle pourra, à l’issue du visionnage, requalifier ou pas, les poursuites pour viol engagées contre un des quatre policiers mis en examen dans cette affaire.
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Affaire Théo : des violences policières au viol, Aulnay-sous-Bois secoué
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et n’est pas un viol. LCI rapporte qu’après analyse des images de vidéosurveillance, les enquêteurs ont jugé que Théo ne s’est pas laissé menotter. Les fonctionnaires de police auraient tenté de le maîtriser et que l’un d’entre eux aurait utilisé une matraque pour le mettre à genou. Toujours selon les enquêteurs, aucun des policiers n’a baissé le pantalon de l’Aulnaysien pour introduire la matraque.
L’IGPN reconnaît un « accident grave et réel » mais réfute toute idée de « viol délibéré », en raison d’élément intentionnel. « C’est très grave, indubitablement, ça peut être des violences ayant entraîné une infirmité permanente. Mais ce n’est pas un viol », ont inscrit les enquêteurs dans leur rapport.
Pour l’instant, la juge d’instruction n’a pas encore pu visionner la vidéo de l’altercation. Elle pourra, à l’issue du visionnage, requalifier ou pas, les poursuites pour viol engagées contre un des quatre policiers mis en examen dans cette affaire.
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