Abdelaziz Bouteflika, le président algérien, n’est pas mort. Une information affirmant le contraire avait fait le tour du Web vendredi 7 septembre. La présidence a démenti la nouvelle le lendemain, samedi 8 septembre.
« Il s'agit de rumeurs malveillantes qui n'honorent pas leurs auteurs et qui ne méritent pas que l'on s'y attarde tant elles sont indignes et méprisables », a déploré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères. Ces rumeurs indiquaient que le président algérien était décédé dans un hôpital suisse d’une mort clinique.
Allain Jules, un journaliste français, est le premier à avoir lancé la rumeur sur son blog. Son information, visiblement mal vérifiée, a ensuite été reprise par plusieurs sites algériens, ainsi que sur les réseaux sociaux et s'est rapidement propagée. Mais sans annonce officielle, les Algériens étaient nombreux à s’interroger sur le décès de leur président, vendredi soir.
Finalement, après un temps qui a pu paraître long pour toutes les personnes inquiètes, le ministère des Affaires étrangères a démenti.
Ce n’est pas la première fois que la mort du président algérien est annoncée. Depuis son hospitalisation en 2005 au Val-de-Grâce à Paris, des rumeurs sur l’aggravation de son état de santé et même sur sa mort naissent régulièrement. Les apparitions publiques de plus en plus rares d’Abdelaziz Bouteflika sont loin de rassurer le peuple algérien.
Devant pareille rumeur, le président aurait déclaré à ses invités lors d'un dîner avec quelques proches : « Je vous confirme les rumeurs annonçant mon décès. » Décidémment, le chef de l'Etat a le sens de l'humour.
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Abdelaziz Bouteflika a quitté le Val-de-Grâce
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Finalement, après un temps qui a pu paraître long pour toutes les personnes inquiètes, le ministère des Affaires étrangères a démenti.
Ce n’est pas la première fois que la mort du président algérien est annoncée. Depuis son hospitalisation en 2005 au Val-de-Grâce à Paris, des rumeurs sur l’aggravation de son état de santé et même sur sa mort naissent régulièrement. Les apparitions publiques de plus en plus rares d’Abdelaziz Bouteflika sont loin de rassurer le peuple algérien.
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