Le ministre algérien des Affaires religieuses et des Wakfs, Bouabdallah Ghlamallah, a annoncé dimanche 9 mars, que les imams ayant refusé d'accomplir la prière de l'absent à la mémoire des victimes du crash d'un avion militaire seront « révoqués », rapporte El Watan, citant l’Algérie Presse Service (APS).
L’avion transportant des militaires et leurs familles s’était écrasé le 11 février. A la suite de cette catastrophe aérienne, qui a fait 77 morts, les autorités avaient décrété un deuil national de trois jours. Il avait également ordonné aux imams du pays d'accomplir la prière de l'absent à la mémoire des victimes, le vendredi suivant le crash.
Mais certains imams ont refusé d’appliquer cette décision, la jugeant « haram » (interdite). « A la place de la prière de l’absent, les imams intégristes ont préféré marquer leurs prêches contre les Algériens qui célèbrent la journée de Saint-Valentin », indique la presse. Le gouvernement algérien a décidé de sanctionner ces imams désobéissants sans préciser leur nombre.
Lire aussi :
Algérie : trois jours de deuil national après un crash aérien
Plus de 100 morts dans un crash d’avion en Algérie
L’avion transportant des militaires et leurs familles s’était écrasé le 11 février. A la suite de cette catastrophe aérienne, qui a fait 77 morts, les autorités avaient décrété un deuil national de trois jours. Il avait également ordonné aux imams du pays d'accomplir la prière de l'absent à la mémoire des victimes, le vendredi suivant le crash.
Mais certains imams ont refusé d’appliquer cette décision, la jugeant « haram » (interdite). « A la place de la prière de l’absent, les imams intégristes ont préféré marquer leurs prêches contre les Algériens qui célèbrent la journée de Saint-Valentin », indique la presse. Le gouvernement algérien a décidé de sanctionner ces imams désobéissants sans préciser leur nombre.
Lire aussi :
Algérie : trois jours de deuil national après un crash aérien
Plus de 100 morts dans un crash d’avion en Algérie