Médecins sans frontières (MSF) a annoncé, samedi 1er mars, avoir été autorisée à reprendre ses activités dans les Etats Chan et Kachin ainsi que dans la région de Rangoun mais pas dans l'Etat de l'Arakan, où se concentre la majorité des Rohingyas, cibles de violences continues depuis 2012.
Cette annonce vient quelques jours après que l’ONG ait reçu l'ordre des autorités birmanes de fermer ses centres de soins dans le pays. « MSF est profondément choquée par cette décision unilatérale et extrêmement inquiet concernant le sort de dizaines de milliers de patients dont nous nous occupons actuellement à travers le pays », avait alors déclaré l'organisation, jeudi 27 février.
« MSF reste très préoccupée par le sort de dizaines de milliers de personnes vulnérables dans l'Etat d'Arakan qui sont confrontées à une crise médicale humanitaire », a indiqué l’ONG ce weekend.
MSF soigne dans cet Etat aussi bien les Arakanais bouddhistes que les Rohingyas musulmans mais a toutefois été accusée d'offrir un traitement préférentiel envers l'ethnie musulmane, non reconnue en Birmanie.
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