La Birmanie regroupe une centaine d'ethnies. Les Birmans sont les plus nombreux parmi ces différentes ethnies, tandis que les Rohingyas représentent une minorité seule à pratiquer l’islam.
Le gouvernement actuel, les moines ainsi que la majorité de la population ont manifestement affiché leur volonté d’expulser leurs voisins Rohingyas de l’Etat Birman.
Nous apprenons que, à côté de ce peuple rejeté par ses pairs, une autre population minoritaire fait aussi l’objet de discrimination et d’injustice. Il s’agit de l'ethnie Chin de Birmanie.
Les Chins habitent le nord-ouest du pays. Beaucoup d’entre eux sont chrétiens. Un rapport de la Chin Human Rights Organization (CHRO) en date du 5 septembre dernier, indique que l’Etat Chin subit la politique de « birmanisation » menée par l’ancienne junte en dépit de l’instauration d’un « gouvernement d’apparence civile ». Et ce depuis 2004 jusqu’à maintenant.
Les chrétiens Chins comme les musulmans Rohingyas font l’objet d’arrestations arbitraires, de détentions sans motifs, de viols, de tortures par le régime actuel. La souffrance de la minorité Rohingya a été médiatisée depuis juin. La communauté internationale a réagi et condamné vivement ces violences. Mais la situation n’a pas changé pour les Rohingyas. Leur cauchemar continue. Les chrétiens Chins auront-ils plus de chance de se faire entendre ? Il reste à savoir la réaction internationale à la suite du rapport de la CHRO.
Le gouvernement actuel, les moines ainsi que la majorité de la population ont manifestement affiché leur volonté d’expulser leurs voisins Rohingyas de l’Etat Birman.
Nous apprenons que, à côté de ce peuple rejeté par ses pairs, une autre population minoritaire fait aussi l’objet de discrimination et d’injustice. Il s’agit de l'ethnie Chin de Birmanie.
Les Chins habitent le nord-ouest du pays. Beaucoup d’entre eux sont chrétiens. Un rapport de la Chin Human Rights Organization (CHRO) en date du 5 septembre dernier, indique que l’Etat Chin subit la politique de « birmanisation » menée par l’ancienne junte en dépit de l’instauration d’un « gouvernement d’apparence civile ». Et ce depuis 2004 jusqu’à maintenant.
Les chrétiens Chins comme les musulmans Rohingyas font l’objet d’arrestations arbitraires, de détentions sans motifs, de viols, de tortures par le régime actuel. La souffrance de la minorité Rohingya a été médiatisée depuis juin. La communauté internationale a réagi et condamné vivement ces violences. Mais la situation n’a pas changé pour les Rohingyas. Leur cauchemar continue. Les chrétiens Chins auront-ils plus de chance de se faire entendre ? Il reste à savoir la réaction internationale à la suite du rapport de la CHRO.