La mosquée Sunna tenue par le controversé Rachid Abou Houdeyfa a été perquisitionné dans la nuit de jeudi 19 à vendredi 20 novembre par un nombre important de policiers.
Le lieu de culte, qui se trouve dans le quartier Pontanézen à Brest, a été l'objet d'une opération policière de très grande envergure qui entre dans le cadre de l'état d'urgence décrété par François Hollande le soir des attentats du 13 novembre.
De 3h20 à 5h40 du matin, des dizaines de cars de CRS ont investi le quartier et des policiers armés ont quadrillé l’ensemble du secteur. Les habitants ont été invités à s’éloigner des fenêtres. Selon le Télégramme de Brest, il n'y a pas eu d’interpellation et aucun élément constitutif d'une infraction n'aurait été saisi.
L'imam, qui fait régulièrement l'objet de polémiques pour ses prêches, n'était pas présent au moment des fouilles à la mosquée. Mais son domicile a également été fouillé. Dans un des prêches qui a fait coulé beaucoup d’encre, il expliquait à des enfants que « la musique fait naître le mal, l'hypocrisie, les choses mauvaises ». « Celui qui écoute de la musique (...) il y a un risque qu'Allah le transforme soit en porc soit en singe », assurait-il aussi, avant de retirer cette vidéo suite de la polémique.
Comme tous les responsables de mosquée, Rachid Abou Houdeyfa a réagi aux attentats de Paris pour les condamner. Il a rappelé l’importance pour les musulmans et les responsables religieux « de rappeler haut et fort, avec fermeté, clairement, sans ambiguïté, que ces actes n'ont rien à voir avec l’islam ». Dans un message posté sur le site de la mosquée dimanche, le jeune prédicateur qualifie les attentats survenus à Paris d'actes « inqualifiables » et « barbares » commis par des terroristes.
Le lieu de culte, qui se trouve dans le quartier Pontanézen à Brest, a été l'objet d'une opération policière de très grande envergure qui entre dans le cadre de l'état d'urgence décrété par François Hollande le soir des attentats du 13 novembre.
De 3h20 à 5h40 du matin, des dizaines de cars de CRS ont investi le quartier et des policiers armés ont quadrillé l’ensemble du secteur. Les habitants ont été invités à s’éloigner des fenêtres. Selon le Télégramme de Brest, il n'y a pas eu d’interpellation et aucun élément constitutif d'une infraction n'aurait été saisi.
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