Le médiatique homme d’affaires franco-algérien fait son retour sur la scène publique en indiquant à Europe 1, jeudi 18 août, qu’il souhaite payer toutes les amendes liées au port du burkini. « Je considère que personne n’a droit en démocratie d’empêcher une personne de porter l’habit de son choix dès lors que cet habit ne représente pas un danger pour la liberté d’autrui ou la sécurité du territoire », explique-t-il, assurant avoir déjà reçu une « jeune femme verbalisée à Cannes ».
Sa démarche n’équivaut pas à une adhésion au concept de tenue de bain couvrant de la tête aux chevilles, explique-t-il : « Je ne crois pas que le burkini soit la meilleure façon de s’intégrer dans la société européenne. Néanmoins (…) il ne couvre pas le visage, contrairement au niqab. »
Rachid Nekkaz s’est déjà fait remarquer en 2010 en créant « un fonds de défense de la liberté et de la laïcité » doté d’un million d’euros afin de payer les amendes liées au port du voile intégral en France et en Europe. Cet entrepreneur dans l’immobilier s’est notamment déclaré candidat à l’élection présidentielle française en 2007 puis à celle de l’Algérie en 2014. Dans les deux cas, il n’a pas pu officialiser sa candidature.
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Rachid Nekkaz ne sera pas candidat
Sa démarche n’équivaut pas à une adhésion au concept de tenue de bain couvrant de la tête aux chevilles, explique-t-il : « Je ne crois pas que le burkini soit la meilleure façon de s’intégrer dans la société européenne. Néanmoins (…) il ne couvre pas le visage, contrairement au niqab. »
Rachid Nekkaz s’est déjà fait remarquer en 2010 en créant « un fonds de défense de la liberté et de la laïcité » doté d’un million d’euros afin de payer les amendes liées au port du voile intégral en France et en Europe. Cet entrepreneur dans l’immobilier s’est notamment déclaré candidat à l’élection présidentielle française en 2007 puis à celle de l’Algérie en 2014. Dans les deux cas, il n’a pas pu officialiser sa candidature.
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