L'exposition « Calligraffi » réunit quatre artistes : Noureddine Chater, The Blind, Larbi Cherkaoui et Soemone.
Ayant démarré à la mi-octobre, l’exposition « Calligraffi » rouvre ses portes après les fêtes de fin d'année 2015, du 2 au 17 janvier 2016.
« Calligraffi », un mot-valise qui désigne le lien fort qui peut exister entre la calligraphie, étymologiquement l'« art d'écrire » que l'on trouve dans toutes les grandes civilisations (arabe, chinoise, latine, hébraïque...) et le graffiti, cet art urbain peint à la bombe ou à l'aérosol, bien souvent associé à la révolte des jeunes.
Pourtant, le graffiti « n’est qu’une simple évolution de la calligraphie traditionnelle », précisent les organisateurs de l'exposition. Celle-ci réunit quatre artistes de cultures différentes mais qui ont en commun une passion pour la peinture et les lettrages. Larbi Charkaoui et Noureddine Chater, originaires du Maroc, sont artistes peintres fortement influencés par la calligraphie ; Soemone et The Blind, français, sont, quant à eux, issus du street art. The Blind, par exemple, a pour caractéristique d'utiliser des billes pour exprimer son art, car son écriture de prédilection est, étonnamment, le braille.
Ensemble, les quatre artistes ont mêlé leur savoir-faire pour nous livrer leur vision du lettrage, leur culture et leur approche de la calligraphie à travers des œuvres vibrantes, riches en matières et en couleurs réalisées de façon collaborative et in situ. L'exposition présente ainsi une quarantaine d'œuvres où se mêlent brillamment création et tradition.
« Calligraffi », un mot-valise qui désigne le lien fort qui peut exister entre la calligraphie, étymologiquement l'« art d'écrire » que l'on trouve dans toutes les grandes civilisations (arabe, chinoise, latine, hébraïque...) et le graffiti, cet art urbain peint à la bombe ou à l'aérosol, bien souvent associé à la révolte des jeunes.
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