L’Organisation international du travail (OIT) a annoncé, voilà une semaine, dans le magazine économique l’Expansion que « le taux de chômage des jeunes dans le monde va continuer de grimper jusqu'en 2017 ». Ce qui correspondra à une hausse de 0,2 point de pourcentage par rapport aux prévisions de 2012 (12,7%).
Puis le 10 septembre dernier, les médias ont rapporté que c’est au tour de la Commission européenne de constater que le chômage fait partie du quotidien de la jeunesse en Europe. En effet, le chômage des 15-24 ans a augmenté de 50 % dans l'Union européenne depuis le début de la crise, d’après un rapport sur « l'intégration professionnelle des jeunes européens ».
Vu la gravité de la situation, la jeunesse est une des priorités des autorités européennes. D’ailleurs, en France, il s’avérait que François Hollande en a fait une priorité délicate en ayant pris différentes mesures correspondant aux attentes des jeunes, telle que la création de 150 000 emplois d’avenir, visant à faciliter l’insertion des jeunes dans l’emploi et l’action des associations.
A l’échelle européenne, le programme « Erasmus pour tous » proposé par la Commission européenne est relancé pour la période 2014-2020. Son but est d'attribuer à cinq millions de jeunes des subventions pour aller étudier à l'étranger. Mais ce programme doit encore être soumis à l'approbation des Etats européens qui se réuniront en novembre prochain, pour pouvoir l’adopter et le publier sous la forme d'un rapport commun du Conseil et de la Commission. L’avenir professionnel de millions de jeunes est entre les mains des Etats européens.
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