Chacun se voit l’artisan de son destin. Chacun construit l’œuvre de sa vie, de la façon abrahamique, c’est-à-dire depuis de solides fondations, et accompagné d’invocations profondes et d’un esprit visionnaire confiant.
Chaque pierre qui élève notre bâtisse peut être une œuvre méritoire, une noble qualité, une compétence certaine ; le mortier est un alliage d’amour, de foi et de sagesse. Chaque étage que tu élèves, chaque échelon que tu atteints te met davantage à l’abri du doute qui ébranle, de la tentation qui fissure ou du malheur qui anéantit, tout en t’anoblissant auprès de Dieu.
Aussi, le croyant meuble sa demeure par son rapport à la Parole de Dieu et ses nombreuses évocations. Il sait accueillir et honorer ses invités, aussi bien des anges, des proches, voire le parfait inconnu, comme l’Auvergnat de Brassens et les visiteurs d’Ibrahim.
Il fait de son temps, de sa vie, une maison de Dieu, il l’utilise à bon escient, à Son service. Il fait de la mosquée son foyer spirituel, s’y repose fréquemment.
Il sait également s’écarter des polémiques à tort ou à raison, car la construction d’un palais au paradis est à ce prix. Il se contient de mentir, même en plaisantant, car un parc immobilier pourrait l’attendre auprès de Dieu.
Mais il comprend que la proximité de Dieu, comme le demanda la reine Assia, est au prix d’un comportement louable, excellent.
Cependant, détruire son œuvre de ses propre mains est la plus irréfléchie des opérations (Coran, sourate 59, verset 2) : c’est commettre des actes au détriment de ce qui fut long à bâtir et à consolider – la foi, la famille, l’honneur.
Mais es-tu prêt à faire face à l’adversité, même si tout s’effondre ? « Si tu peux voir détruit l’œuvre de ta vie / et sans dire un seul mot te remettre à rebâtir, […] / tu seras un homme, mon fils ! » (Rudyard Kipling).
À toi de choisir ta spécialité : bâtisseur de murs ou de ponts (entre les cœurs), pourvoyeur de vices ou agenceur de la bonté, travailleur-consommateur ou édificateur d’hommes et de femmes clairvoyants et réformateurs.
* Hamza Braïki, maçon… de cœur, Lyon.
Chaque pierre qui élève notre bâtisse peut être une œuvre méritoire, une noble qualité, une compétence certaine ; le mortier est un alliage d’amour, de foi et de sagesse. Chaque étage que tu élèves, chaque échelon que tu atteints te met davantage à l’abri du doute qui ébranle, de la tentation qui fissure ou du malheur qui anéantit, tout en t’anoblissant auprès de Dieu.
Aussi, le croyant meuble sa demeure par son rapport à la Parole de Dieu et ses nombreuses évocations. Il sait accueillir et honorer ses invités, aussi bien des anges, des proches, voire le parfait inconnu, comme l’Auvergnat de Brassens et les visiteurs d’Ibrahim.
Il fait de son temps, de sa vie, une maison de Dieu, il l’utilise à bon escient, à Son service. Il fait de la mosquée son foyer spirituel, s’y repose fréquemment.
Il sait également s’écarter des polémiques à tort ou à raison, car la construction d’un palais au paradis est à ce prix. Il se contient de mentir, même en plaisantant, car un parc immobilier pourrait l’attendre auprès de Dieu.
Mais il comprend que la proximité de Dieu, comme le demanda la reine Assia, est au prix d’un comportement louable, excellent.
Cependant, détruire son œuvre de ses propre mains est la plus irréfléchie des opérations (Coran, sourate 59, verset 2) : c’est commettre des actes au détriment de ce qui fut long à bâtir et à consolider – la foi, la famille, l’honneur.
Mais es-tu prêt à faire face à l’adversité, même si tout s’effondre ? « Si tu peux voir détruit l’œuvre de ta vie / et sans dire un seul mot te remettre à rebâtir, […] / tu seras un homme, mon fils ! » (Rudyard Kipling).
À toi de choisir ta spécialité : bâtisseur de murs ou de ponts (entre les cœurs), pourvoyeur de vices ou agenceur de la bonté, travailleur-consommateur ou édificateur d’hommes et de femmes clairvoyants et réformateurs.
* Hamza Braïki, maçon… de cœur, Lyon.