En octobre dernier, on avait particulièrement apprécié le beau spectacle « Shiva Ganga », en unique représentation à la Cité de la musique (Paris 19e), qui a fait se rencontrer la danse kathak, une danse traditionnelle de l’Inde du Nord, et le lightpainting.
Le lightpainting, késako ? Il s’agit d’une technique photographique qui utilise un temps d’exposition long en faisant se déplacer une ou plusieurs sources de lumière. Résultat : la photographie obtenue montre le mouvement pris par cette source lumineuse ; un vrai tableau…
Sur scène, Julien Breton utilise son geste ample pour dessiner des calligraphies lumineuses autour du corps des danseurs. Silence, courte pause au milieu du parcours chorégraphique, concentration, invisibilité du corps du calligraphe, et parcours de points lumineux.
Puis la lumière apparaît, en même temps que la calligraphie : impression éphèmère qui habille le corps des danseurs un instant immobile pendant que se réalise de l’œuvre picturale.
« L'encre devient lumière, le papier devient photographie, la calligraphie devient chorégraphie », énonce Julien Breton.
A Nantes, mercredi 22 janvier, l’artiste (qui a remporté un prix dans la catégorie Light-Graff à l’International Urban Arts Awards 2011 et deux prix de bronze au Dubai Lynx Awards) récidive avec la compagnie « Turn off the Light », cette fois mariant la danse hip-hop et le lightpainting. L’occasion pour les habitants de Nantes et de ses environs de découvrir une performance artistique encore peu connue, qui tente d’allier culture occidentale et culture orientale.
Le lightpainting, késako ? Il s’agit d’une technique photographique qui utilise un temps d’exposition long en faisant se déplacer une ou plusieurs sources de lumière. Résultat : la photographie obtenue montre le mouvement pris par cette source lumineuse ; un vrai tableau…
Sur scène, Julien Breton utilise son geste ample pour dessiner des calligraphies lumineuses autour du corps des danseurs. Silence, courte pause au milieu du parcours chorégraphique, concentration, invisibilité du corps du calligraphe, et parcours de points lumineux.
Puis la lumière apparaît, en même temps que la calligraphie : impression éphèmère qui habille le corps des danseurs un instant immobile pendant que se réalise de l’œuvre picturale.
« L'encre devient lumière, le papier devient photographie, la calligraphie devient chorégraphie », énonce Julien Breton.
A Nantes, mercredi 22 janvier, l’artiste (qui a remporté un prix dans la catégorie Light-Graff à l’International Urban Arts Awards 2011 et deux prix de bronze au Dubai Lynx Awards) récidive avec la compagnie « Turn off the Light », cette fois mariant la danse hip-hop et le lightpainting. L’occasion pour les habitants de Nantes et de ses environs de découvrir une performance artistique encore peu connue, qui tente d’allier culture occidentale et culture orientale.
« Empreintes », spectacle-performance (arts numériques, lightpainting et danse), à Stéréolux La Fabrique (Nantes), mercredi 22 janvier, à 20 heures, tarif : 8 €.
Calligraphie et direction artistique : Julien Breton
Danse : Stephanie Naud et Razy Essid
Musique originale : Sandy Ralambondrainy
Musique Live : Dj One Up
Photographie live : David Gallard
Lumière : Vincent Potreau
Pour suivre le travail de Julien Breton : kaalam.fr/
Calligraphie et direction artistique : Julien Breton
Danse : Stephanie Naud et Razy Essid
Musique originale : Sandy Ralambondrainy
Musique Live : Dj One Up
Photographie live : David Gallard
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