La Marianne était décidé à briser le blocus de Gaza. Mais le bateau de pêche, qui fait partie de la Flottille de la Liberté III, a fini par être intercepté par la marine israélienne dans la nuit du dimanche 28 au lundi 29 juin, sans incident, a annoncé l'Etat hébreu.
Le bateau, parti depuis la Suède voici plusieurs mois, avait dernièrement accosté le 26 juin en Crète avec, à son bord, Moncef Marzouki, l’ancien chef de l’Etat tunisien.
Les passagers de la Marianne, qui seront expulsés d’Israël, ont été redirigés vers la ville d’Ashdod.
Les autorités israéliennes, vent debout contre l'initiative, ont mis tout en oeuvre pour ne pas voir le bateau s’approcher des côtes de Gaza mais aussi pour éviter un carnage comme ce fut le cas en 2010 avec le Mavi Marmara. Le violent assaut du navire turc, qui comptait à son bord des militants pacifistes, avait alors causé la mort de 10 personnes.
La Marianne est un des quatre navires qui constituent la Flottille de la Liberté III, dont les coordinateurs ont dénoncé, lundi 29 juin, un acte de piraterie d'Israël.
Mise à jour : La Marianne ayant été interceptée en eaux internationales, « c’est un nouvel acte de piraterie de la part de l’armée israélienne, Israël n’ayant pas de souveraineté sur les eaux internationales au large de Gaza », a dénoncé la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine. « La multiplication des actes de pirateries de la part d’Israël en eaux internationales sont des signes inquiétant de l’expansion de la politique d’occupation et de blocus sur l’ensemble de la Méditerranée », affirme-t-elle, réclamant la libération immédiate des passagers arrêtés, la restitution du navire suédois et, ce pourquoi la Flottille existe, la levée du blocus.
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