La Première ministre Theresa May a signé la lettre qui sera remise à Bruxelles pour officialiser le lancement des négociations d’une sortie de l’Union européenne pour le Royaume-Uni. L’action a été rendue publie par une photo diffusée dans la soirée du mardi 28 mars où on voit Theresa May en train de signer la lettre d’activation de l’article 50 du traité de Lisbonne.
Le 23 juin 2016, les Britanniques ont voté 52 % pour quitter l’Union européenne à l’issue d’un référendum. Le Royaume-Uni a désormais deux ans pour négocier un accord de sécession qui devra être approuvé par les Etats membres à la majorité qualifiée et par le Parlement européen.
David Davis, secrétaire d’Etat à la sortie de l’UE discutera donc longuement avec le commissaire européen Michel Barnier. Le Livre blanc du Great Repeal Bill, un projet de loi abolissant le code de la loi de 1972 qui incorporait la législation européenne au droit britannique, sera publié jeudi 30 mars.
Theresa May a signé « notre lettre de suicide », juge Pollyn Toynbee, éditorialiste du Guardian. Du côté du Daily Telegraph, on préfère souligner l’économie du pays qui pourra économiser 139 milliards d’euros, correspondant au coût des règlements européens. The Times, en revanche, s’inquiète des conflits internes qui s’annoncent au Royaume-Uni. Des suites du Breixit, l’Irlande du Nord et l’Ecosse souhaitent en effet quitter le royaume. Le Parlement écossais a autorisé, mardi 28 mars, la Première ministre Nicola Sturgeon à demander à Londres l’organisation d’un nouveau référendum d’indépendance.
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