Houria Bouteldja, la porte-parole du Parti des indigènes de la république (PIR), a été agressée, mercredi 24 octobre à Paris.
Un groupe de personnes, dont l’un muni d’une caméra, s’est approché d’elle devant son lieu de travail à l’Institut du monde arabe (IMA) et l’a aspergée de peinture rouge avant de prendre la fuite, témoigne-t-elle. Houria Bouteldja a immédiatement déposé plainte.
Selon la porte-parole du PIR, un faisceau d’indices indique qu’il pourrait s’agir d’une opération commandée par la Ligue de défense juive (LDJ), une milice extrémiste pro-israélienne qui continue de sévir en France alors qu’elle est régulièrement mise en cause dans de multiples agressions de militants pro-palestiniens.
Olivia Zemor, la présidente de l’association EuroPalestine, a notamment été victime d’une agression similaire.
« L’agression contre Houria Bouteldja vient probablement en réaction à ses fermes déclarations antisionistes lors d’une émission diffusée sur la chaîne parlementaire, deux jours plus tôt », dans laquelle elle a clairement dénoncé les agissements de la LDJ, fait savoir le PIR sur son site, qui condamne « avec la plus grande vigueur cette agression. »
Le PIR exige des autorités « qu’elles prennent les mesures qui s’imposent pour mettre un terme aux agissements de ce groupe qui n’hésite pas à user de la violence pour intimider ses adversaires ». « Qu’il soit sûr cependant qu’il en faudra beaucoup plus pour nous intimider. Ni les menaces, ni la violence n’entameront notre détermination à lutter pour une Palestine libre », conclut le mouvement.
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Selon la porte-parole du PIR, un faisceau d’indices indique qu’il pourrait s’agir d’une opération commandée par la Ligue de défense juive (LDJ), une milice extrémiste pro-israélienne qui continue de sévir en France alors qu’elle est régulièrement mise en cause dans de multiples agressions de militants pro-palestiniens.
Olivia Zemor, la présidente de l’association EuroPalestine, a notamment été victime d’une agression similaire.
« L’agression contre Houria Bouteldja vient probablement en réaction à ses fermes déclarations antisionistes lors d’une émission diffusée sur la chaîne parlementaire, deux jours plus tôt », dans laquelle elle a clairement dénoncé les agissements de la LDJ, fait savoir le PIR sur son site, qui condamne « avec la plus grande vigueur cette agression. »
Le PIR exige des autorités « qu’elles prennent les mesures qui s’imposent pour mettre un terme aux agissements de ce groupe qui n’hésite pas à user de la violence pour intimider ses adversaires ». « Qu’il soit sûr cependant qu’il en faudra beaucoup plus pour nous intimider. Ni les menaces, ni la violence n’entameront notre détermination à lutter pour une Palestine libre », conclut le mouvement.
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