Attaquer frontalement l’Iran est une option sérieusement envisagée par Israël, qui lui reproche la poursuite de ses activités nucléaires à des fins militaires. Les frappes aériennes « préventives » permettront uniquement de détruire les installations nucléaires iraniennes, ont fait savoir le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou et son ministre de la Défense Ehoud Barak.
Ces derniers s’appuient sur le dernier rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) rendu public mardi 8 novembre suggérant l'existence d'un programme nucléaire militaire clandestin en Iran.
L’Arabie Saoudite, qui a autant – voire plus – peur du nucléaire iranien qu’Israël, serait prête à soutenir ce pays contre leur ennemi commun. Entre le royaume wahhabite et l’Etat chiite, les relations diplomatiques sont au plus bas depuis longtemps. Riyad a en effet exhorté de nombreuses fois les Etats-Unis à lancer une attaque contre son voisin selon les dernières révélations de Wikileaks.
Selon la presse israélienne, plusieurs États arabes seraient également pour une intervention armée contre Téhéran mais ne souhaiteraient pas la soutenir publiquement par crainte des réactions de leurs peuples.
L'Iran a mis en garde, mercredi 9 novembre, Israël et ses alliés contre toute attaque la visant sous peine de dures représailles. De leur côté, la France et la Grande-Bretagne ont indiqué être pour la mise en place de nouvelles sanctions économiques, ce que la Chine et la Russie refusent.
En cas d'attaque, la région n'en serait que plus fragilisée, déjà très instable avec les révoltes en Syrie et au Bahreïn ainsi que le conflit israélo-palestinien.
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Selon la presse israélienne, plusieurs États arabes seraient également pour une intervention armée contre Téhéran mais ne souhaiteraient pas la soutenir publiquement par crainte des réactions de leurs peuples.
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