Une mauvaise surprise attendait le gardien de la grande mosquée de Perpignan en se rendant au lieu de culte. Il a découvert des tags racistes sur le mur d’enceinte le matin du vendredi 8 janvier, jour de la grande prière hebdomadaire.
Des croix gammées et des inscriptions comme « Dehors » ont été retrouvés, avec la tête d'un sanglier mort et les quatre pattes de l'animal.
Les traces des dégradations ont été rapidement enlevées. Une enquête a été rapidement ouverte. Le ministère de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a a fait part de « son indignation », demandant au préfet de Pyrénées-Orientales de saisir la justice.
« De tels actes n’ont pas leur place dans la République et leurs auteurs devront en répondre devant la justice », poursuit-il, assurant de « son soutien et de sa solidarité » aux Perpignanais de confession musulmane.
Des croix gammées et des inscriptions comme « Dehors » ont été retrouvés, avec la tête d'un sanglier mort et les quatre pattes de l'animal.
Les traces des dégradations ont été rapidement enlevées. Une enquête a été rapidement ouverte. Le ministère de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a a fait part de « son indignation », demandant au préfet de Pyrénées-Orientales de saisir la justice.
« De tels actes n’ont pas leur place dans la République et leurs auteurs devront en répondre devant la justice », poursuit-il, assurant de « son soutien et de sa solidarité » aux Perpignanais de confession musulmane.