Doha, le 7 Janvier 2013 − Un séminaire de 3 jours sur la bioéthique, de très haut niveau et très spécialisé, organisé par le Centre de recherche sur la Législation islamique et l’éthique (CILE) s’est achevé aujourd’hui. Il s’est tenu à la faculté des Etudes Islamiques du Qatar, membre de la Fondation du Qatar pour l’éducation, la science et le développement communautaire.
Ce séminaire a réuni des savants du droit islamique (savants du texte) ainsi que de la profession médicale (savants du contexte) autour de débats approfondis sur deux questions actuelles et essentielles liées à l’éthique appliquée en matière de médecine.
Il s’agissait en premier lieu d’étudier les principes de la bioéthique du point de vue islamique, et de savoir comment il était possible de les spécifier et de les formuler, à partir des principes fondamentaux de la législation islamique, et à la lumière des défis contemporains. Dans un second temps, il s’agissait de déterminer si les quatre grands principes de la bioéthique, tels qu’ils sont connus et discutés en Occident, sont universels ou non.
Plusieurs savants spécialisés dans la législation islamique et des médecins ont pris part à ce séminaire qui ouvre une série d’autres rencontres organisées par CILE.
Parmi eux, on pouvait compter : Cheikh Dr Abdulsattar Abu Ghuddah, professeur de droit comparé et expert auprès de l’Académie de la Législation Islamique ; Dr Mohammad Ali Albar, consultant au Centre du Roi Fahd pour la recherche médicale ; Cheikh Dr Ali Al-Qaradaghi, professeur de droit et de jurisprudence islamique à l’Université du Qatar et secrétaire général de la LISM ; Dr Tom Beauchamp, professeur de philosophie morale à l’Université Georgetown et directeur de l’Institut Kennedy sur l’éthique ; Cheikh Dr Abdullah Bin Bayyah, savant réputé et vice-président de la Ligue Internationale des Savants Musulmans (LISM) ; Dr Annelien Bredenoord, professeur de bioéthique au Centre médical de l’Université de Leiden (Pays-Bas) ; Dr Hassan Pasha, chef du service de cardiologie non invasive de l’Hôpital des forces armées du Roi Fahd et Cheikh Dr Ahmed Raissouni, professeur de maqasid al shariah (les principes fondateurs de la législation islamique) et secrétaire général de l’Académie de la Législation Islamique.
Ces savants se sont réunis en présence du professeur Tariq Ramadan, directeur de CILE et professeur à l’Université d’Oxford, du Dr Jasser Auda, directeur adjoint de CILE, et de Dr Mohamed Ghali, professeur à l’Université de Leiden et modérateur de ce séminaire.
CILE est spécialisé dans la législation islamique et la pensée éthique, avec une attention toute particulière portée à l’éthique appliquée. Le Centre, par sa vision réformiste et rénovée, guidé par les principes fondamentaux du Coran, de la Sunna et des objectifs supérieurs de la législation islamique (Maqasid), vise à proposer un cadre théorique et méthodologique permettant des avancées effectives, dans la poursuite d’un monde plus juste et plus respectueux de l’éthique.
Ce séminaire a réuni des savants du droit islamique (savants du texte) ainsi que de la profession médicale (savants du contexte) autour de débats approfondis sur deux questions actuelles et essentielles liées à l’éthique appliquée en matière de médecine.
Il s’agissait en premier lieu d’étudier les principes de la bioéthique du point de vue islamique, et de savoir comment il était possible de les spécifier et de les formuler, à partir des principes fondamentaux de la législation islamique, et à la lumière des défis contemporains. Dans un second temps, il s’agissait de déterminer si les quatre grands principes de la bioéthique, tels qu’ils sont connus et discutés en Occident, sont universels ou non.
Plusieurs savants spécialisés dans la législation islamique et des médecins ont pris part à ce séminaire qui ouvre une série d’autres rencontres organisées par CILE.
Parmi eux, on pouvait compter : Cheikh Dr Abdulsattar Abu Ghuddah, professeur de droit comparé et expert auprès de l’Académie de la Législation Islamique ; Dr Mohammad Ali Albar, consultant au Centre du Roi Fahd pour la recherche médicale ; Cheikh Dr Ali Al-Qaradaghi, professeur de droit et de jurisprudence islamique à l’Université du Qatar et secrétaire général de la LISM ; Dr Tom Beauchamp, professeur de philosophie morale à l’Université Georgetown et directeur de l’Institut Kennedy sur l’éthique ; Cheikh Dr Abdullah Bin Bayyah, savant réputé et vice-président de la Ligue Internationale des Savants Musulmans (LISM) ; Dr Annelien Bredenoord, professeur de bioéthique au Centre médical de l’Université de Leiden (Pays-Bas) ; Dr Hassan Pasha, chef du service de cardiologie non invasive de l’Hôpital des forces armées du Roi Fahd et Cheikh Dr Ahmed Raissouni, professeur de maqasid al shariah (les principes fondateurs de la législation islamique) et secrétaire général de l’Académie de la Législation Islamique.
Ces savants se sont réunis en présence du professeur Tariq Ramadan, directeur de CILE et professeur à l’Université d’Oxford, du Dr Jasser Auda, directeur adjoint de CILE, et de Dr Mohamed Ghali, professeur à l’Université de Leiden et modérateur de ce séminaire.
CILE est spécialisé dans la législation islamique et la pensée éthique, avec une attention toute particulière portée à l’éthique appliquée. Le Centre, par sa vision réformiste et rénovée, guidé par les principes fondamentaux du Coran, de la Sunna et des objectifs supérieurs de la législation islamique (Maqasid), vise à proposer un cadre théorique et méthodologique permettant des avancées effectives, dans la poursuite d’un monde plus juste et plus respectueux de l’éthique.