Georges Ibrahim Abdallah devait pouvoir sortir de prison en libération conditionnelle à condition d'être expulsé du territoire français. Pour se faire, le ministère de l'Intérieur devait impérativement prendre l’arrêté d’expulsion d'ici au 14 janvier.
Or, Manuel Valls n’a jusque là pas signé l’arrêté, retardant ainsi la libération du prisonnier libanais. La justice française a repoussé sa décision sur sa libération conditionnelle au 28 janvier.
L’ancien chef des Fractions armées révolutionnaires libanaises (FARL), engagé auprès du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), est emprisonné pour complicité d'assassinat de deux diplomates américain et israélien, à Paris en 1982. Il a été condamné à perpétuité en 1987 mais est libérable depuis 1999.
Les Etats-Unis et Israël ont toujours refusé la libération du détenu. « La vengeance politique se poursuit : l'État français, par l'intermédiaire de son ministre de l'intérieur, refuse d'accepter - après plus de 28 ans de prison - qu'il n’a pas réussi à faire plier Georges Ibrahim Abdallah, combattant de la résistance libanaise et palestinienne, adversaire résolu et inflexible des entreprises impérialistes et sionistes au Moyen-Orient », a fait savoir, mardi 15 janvier, le Collectif pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah.
Face à cette « farce judiciaire », ses soutiens sont décidés à organiser à nouveau des rassemblements jusqu’à la libération effective du prisonnier.
Lire aussi :
Georges Ibrahim Abdallah libérable sous condition d’expulsion
Or, Manuel Valls n’a jusque là pas signé l’arrêté, retardant ainsi la libération du prisonnier libanais. La justice française a repoussé sa décision sur sa libération conditionnelle au 28 janvier.
L’ancien chef des Fractions armées révolutionnaires libanaises (FARL), engagé auprès du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), est emprisonné pour complicité d'assassinat de deux diplomates américain et israélien, à Paris en 1982. Il a été condamné à perpétuité en 1987 mais est libérable depuis 1999.
Les Etats-Unis et Israël ont toujours refusé la libération du détenu. « La vengeance politique se poursuit : l'État français, par l'intermédiaire de son ministre de l'intérieur, refuse d'accepter - après plus de 28 ans de prison - qu'il n’a pas réussi à faire plier Georges Ibrahim Abdallah, combattant de la résistance libanaise et palestinienne, adversaire résolu et inflexible des entreprises impérialistes et sionistes au Moyen-Orient », a fait savoir, mardi 15 janvier, le Collectif pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah.
Face à cette « farce judiciaire », ses soutiens sont décidés à organiser à nouveau des rassemblements jusqu’à la libération effective du prisonnier.
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