« Figures féminines du soufisme ». C’est le thème de la 5e édition de festival de Fès de la culture soufie.
Pendant huit jours (du 16 au 23 avril 2011), la ville marocaine de Fès va devenir un point d’attention mondial pour la culture soufie. L’occasion de découvrir ou de redécouvrir toute la richesse artistique, intellectuelle et spirituelle de cette culture. L’occasion également de faire passer le message de paix et d’ouverture qu’est le soufisme. Des femmes ont d’ailleurs été les meilleures ambassadrices de ce message : le festival leur rend cette année hommage.
Des conférences, des concerts, des tables rondes, tous les ingrédients sont là pour promouvoir auprès du public les poèmes et fondements de la culture soufie, mais toujours sous l’angle féminin. Les discussions s’orienteront vers « l’archétype féminin chez Ibn Arabi » ou encore sur des axes comme « soufisme, femmes et écologie ».
Une table ronde, le lundi 18 avril, reviendra sur l’histoire de deux figures féminines marquantes du soufisme. Eva de Vitray Meyerovitch a consacré sa vie au poète soufi Rûmî. Convertie à l’islam, elle traduira le Mathnawi, œuvre magistrale de l’islam en français. Isabelle Eberhardt s’est convertie à l’islam et mena une vie de nomade pour parfaire son enseignement. Cette bourgeoise genevoise, écrivaine et journaliste, a mis l’islam et le soufisme au cœur de sa pensée. Deux exemples frappants d’une quête spirituelle, au féminin.
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