Sur le vif
Plus d'une cinquantaine de journalistes ont signé un appel à la libération de Nadir Dendoune, détenu en Irak, a fait savoir Reporters sans frontières (RSF), à l'initiative de cet appel lancé samedi 9 février.
« Notre confrère a eu le courage d’entrer en Irak pour témoigner de la réalité d’un pays en reconstruction au moment du dixième anniversaire de l’invasion de l’Irak par l’armée américaine. (…) Dotés d’une expérience du reportage, nous pouvons témoigner unanimement que les obligations des enquêtes sur le terrain empêchent l’application stricte des règlements tatillons et la distinction des "lieux sensibles" », lit-on.
L’Irak figure au 150e rang du classement mondial de la liberté de la presse, rappelle RSF. « Nous affirmons à son gouvernement que c’est l’honneur des démocraties de protéger les journalistes dans l’exercice de leur métier, car la liberté de l’information est une liberté fondamentale des citoyens », insiste l’organisation, présidée par Christophe Deloire, l'ancien directeur du Centre de formation des journalistes (CFJ).
RSF prépare dans le même temps un voyage prochain vers l’Irak pour plaider la cause du journaliste français.
Nadir Dendoune, accusé d’avoir pris des photos « sensibles » sans autorisation du QG des services de renseignements, est emprisonné à Bagdad depuis le 23 janvier sans inculpation.
Lire aussi :
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Nadir Dendoune, un « tocard » brillant au fond d’une cellule en Irak
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Irak : RSF préoccupé du sort de Nadir Dendoune
« Notre confrère a eu le courage d’entrer en Irak pour témoigner de la réalité d’un pays en reconstruction au moment du dixième anniversaire de l’invasion de l’Irak par l’armée américaine. (…) Dotés d’une expérience du reportage, nous pouvons témoigner unanimement que les obligations des enquêtes sur le terrain empêchent l’application stricte des règlements tatillons et la distinction des "lieux sensibles" », lit-on.
L’Irak figure au 150e rang du classement mondial de la liberté de la presse, rappelle RSF. « Nous affirmons à son gouvernement que c’est l’honneur des démocraties de protéger les journalistes dans l’exercice de leur métier, car la liberté de l’information est une liberté fondamentale des citoyens », insiste l’organisation, présidée par Christophe Deloire, l'ancien directeur du Centre de formation des journalistes (CFJ).
RSF prépare dans le même temps un voyage prochain vers l’Irak pour plaider la cause du journaliste français.
Nadir Dendoune, accusé d’avoir pris des photos « sensibles » sans autorisation du QG des services de renseignements, est emprisonné à Bagdad depuis le 23 janvier sans inculpation.
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