Sur le vif
Le tueur norvégien, Anders Behring Breivik, a voulu faire croire à l'existence de deux cellules de lutte « contre l'Islam » en Europe. Les enquêteurs ne semblent pas croire à cette thèse même s'ils ont affirmé rester prudents. Les contrôles aux frontières norvégiennes ont, en tout cas, été levés, lundi 25 juillet. La police norvégienne n'a également pas demandé à d'autres pays de mener une enquête à l'échelle européenne, ni relevé le niveau d'alerte terroriste sur leur territoire.
Le manifeste de 1500 pages écrit par le tueur, laisse penser que celui-ci agissait seul. Interrogé par Le Point, Magnus Ranstrop, le directeur de recherche au Collège suédois de défense nationale a affirmé « les tueurs de masse sont généralement seuls ».
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