Anders Breivik profite de ses audiences, pour faire de la propagande. Au deuxième jour de son procès, mardi 17 avril, le Norvégien, accusé d’avoir tué 77 personnes, le 22 juillet 2011, à Oslo et sur l’île Utoya, fait l’apologie d’une idéologie extrémiste. « Je vends un message, je vends une idéologie, une vision de la vie », rapporte Anne-Françoise Hivert, correspondante pour Libération en Scandinavie.
Le début de la séance de ce matin a débuté par la récusation d’un des cinq juges traitant cette affaire. La raison de ce renvoi est la réclamation de ce dernier à la peine capitale pour l’assassin. Selon Le Figaro il aurait écrit sur un site Internet : « La peine de morte est la seule solution juste dans cette affaire. »
Au premier jour, lundi 16 avril, l’assassin reconnaissait avoir tué 77 personnes en juillet 2011 à Oslo et sur l’île Utoya, sans pour autant témoigner le moindre regret envers ses victimes. Bien au contraire il a affirmé que si c’était à refaire, il recommencerait ses tueries. Les seules larmes qu’il a laissé s'échapper étaient au moment de la projection du film de propagande qu'il a conçu et diffusé le jour de ses massacres.
Si Anders Breivik est jugé coupable et responsable de ses actes au moment des faits, il encourt jusqu’à 21 ans de prison. Une peine qui peut être allongée s’il est toujours considéré comme étant dangereux. Si, au contraire, il est reconnu comme pénalement irresponsable, il sera alors interné en psychiatrie et ce, potentiellement, pour le reste de son existence.
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Au premier jour, lundi 16 avril, l’assassin reconnaissait avoir tué 77 personnes en juillet 2011 à Oslo et sur l’île Utoya, sans pour autant témoigner le moindre regret envers ses victimes. Bien au contraire il a affirmé que si c’était à refaire, il recommencerait ses tueries. Les seules larmes qu’il a laissé s'échapper étaient au moment de la projection du film de propagande qu'il a conçu et diffusé le jour de ses massacres.
Si Anders Breivik est jugé coupable et responsable de ses actes au moment des faits, il encourt jusqu’à 21 ans de prison. Une peine qui peut être allongée s’il est toujours considéré comme étant dangereux. Si, au contraire, il est reconnu comme pénalement irresponsable, il sera alors interné en psychiatrie et ce, potentiellement, pour le reste de son existence.
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