A J-1 de la demande de reconnaissance d’un Etat palestinien vendredi 23 septembre, le nombre de pays qui soutiennent la démarche grandit. Cependant, les Etats-Unis demeurent inflexibles et comptent bien opposer leur veto à la candidature palestinienne à l’ONU.
L’Europe reste toujours divisée sur la question. L’Allemagne, les Pays-Bas, l'Italie et la République tchèque se sont ouvertement rangées derrière Israël. Quant à la Belgique, Chypre, la Grèce, l'Irlande, Malte, la Norvège, le Portugal, l'Espagne et la Suède, ils devraient soutenir la résolution. Les autres Etats ne sont pas définitivement prononcés.
De son côté, la France préconise une troisième solution. Plutôt que de reconnaître un Etat, il suggère d’attribuer aux territoires palestiniens, qui jouissent à ce jour du statut de simple « observateur » aux Nations Unies, le statut d’« Etat observateur » à l’instar de Vatican, qui est le seul à en bénéficier.
« Chacun sait bien qu'une reconnaissance pleine et entière du statut d'État membre de l'ONU ne peut être obtenue dans l'immédiat pour la Palestine », a déclaré Nicolas Sarkozy, qui redoute « un cycle de violence au Proche-Orient » dès lors que la demande de Mahmoud Abbas sera rejetée au Conseil de Sécurité malgré le soutien de la Russie et de la Chine.
Bien que l’initiative de M. Abbas suscite des divisions au sein même de la société palestinienne, des milliers de Palestiniens ont manifesté en Cisjordanie mercredi 21 septembre en signe de soutien à la demande de reconnaissance d’un Etat.
Lire aussi :
Les Palestiniens en soif de reconnaissance
Le PS appelle la France à reconnaître un Etat palestinien
L’Etat palestinien, c'est maintenant !
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