Les trois plaques de la promenade Ben-Gourion, inaugurée le 15 avril à Paris en présence du maire socialiste Bertrand Delanoë, du maire du 7e arrondissement Rachida Dati et du président israélien Shimon Peres, ont disparu. L’information a été confirmée mercredi 21 avril par la préfecture de police de Paris et la mairie de Paris, rapporte Le Figaro.
Ce qui n'est pas pour déplaire aux militants pro-palestiniens, dont certains ont manifesté leur colère le 15 avril dernier. Une vidéo constatant ces disparitions a été mise en ligne sur la Toile.
Ce qui n'est pas pour déplaire aux militants pro-palestiniens, dont certains ont manifesté leur colère le 15 avril dernier. Une vidéo constatant ces disparitions a été mise en ligne sur la Toile.
« La mairie de Paris a décidé de porter plainte », a annoncé Laurent Fary, porte-parole de Bertrand Delanoë, précisant mercredi que « les équipes de la ville sont mobilisées pour procéder au remplacement de ces plaques » au plus tôt possible.
Le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) s'est dit « choqué » par la « provocation » dans un communiqué publié ce jeudi. « Cette nouvelle provocation intervient dans un contexte d'hystérie anti-israélienne», s'insurge le CRIF, qui demande aux pouvoirs publics « de tout mettre en œuvre pour retrouver les auteurs de cette dégradation et pour assurer la tranquillité des biens ».
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Le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) s'est dit « choqué » par la « provocation » dans un communiqué publié ce jeudi. « Cette nouvelle provocation intervient dans un contexte d'hystérie anti-israélienne», s'insurge le CRIF, qui demande aux pouvoirs publics « de tout mettre en œuvre pour retrouver les auteurs de cette dégradation et pour assurer la tranquillité des biens ».
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