La barre sanglante des 100 personnes tuées dans la bande de Gaza sous les bombes israéliennes a été franchie mardi 20 novembre. Selon les sources médicales sur place, plus de 900 blessés sont également dénombrés. Une trêve est actuellement discutée au Caire, en Egypte, pour que les ONG puissent venir en aide aux Palestiniens. L’option d’une offensive terrestre a été écartée pour le moment par Israël mais les bombardements continuent de pleuvoir sur Gaza.
Les ministres des Affaires étrangères d'un groupe d'États arabes (Egypte, Maroc, Irak, Qatar, Liban et Jordanie) ainsi que celui de la Turquie se rendent à Gaza pour montrer leur solidarité avec l'enclave palestinienne contrôlée par le Hamas, a indiqué une source proche de la Ligue arabe ce mardi.
« Mon message est clair: toutes les parties doivent cesser le feu immédiatement. Une nouvelle escalade de la situation mettra en danger toute la région », a déclaré le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, lors d'une conférence de presse au Caire, à la suite d'une rencontre avec le chef de la Ligue arabe, Nabil Elaraby.
Cependant, il tempère sa condamnation contre Israël. « Nous devons tous reconnaître qu'Israël a des préoccupations concernant sa sécurité légitimes, qui doivent être respectées en accord avec le droit international, mais une opération au sol constituerait une dangereuse escalade », a-t-il ajouté, précisant celle-ci devait être évitée. Même son de cloche pour Laurent Fabius, le ministre des Affaires étrangères, qui estime que « les responsabilités sont partagées ».
Aucune parcelle de terre de la minuscule enclave palestinienne où s’entassent plus de 1,5 millions de personnes n’est à l'abri de l'offensive sanglante menée par Israël, qui affirme faire des « frappes chirurgicales » contre des « combattants » palestiniens. Or, la majorité des morts sont des civils, dont une trentaine d'enfants. Un des bombardements de dimanche a notamment tué 12 membres d'une même famille, qui comprend sept enfants et adolescents, trois femmes et deux personnes âgées, selon des sources locales.
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Cependant, il tempère sa condamnation contre Israël. « Nous devons tous reconnaître qu'Israël a des préoccupations concernant sa sécurité légitimes, qui doivent être respectées en accord avec le droit international, mais une opération au sol constituerait une dangereuse escalade », a-t-il ajouté, précisant celle-ci devait être évitée. Même son de cloche pour Laurent Fabius, le ministre des Affaires étrangères, qui estime que « les responsabilités sont partagées ».
Aucune parcelle de terre de la minuscule enclave palestinienne où s’entassent plus de 1,5 millions de personnes n’est à l'abri de l'offensive sanglante menée par Israël, qui affirme faire des « frappes chirurgicales » contre des « combattants » palestiniens. Or, la majorité des morts sont des civils, dont une trentaine d'enfants. Un des bombardements de dimanche a notamment tué 12 membres d'une même famille, qui comprend sept enfants et adolescents, trois femmes et deux personnes âgées, selon des sources locales.
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