Nicolas Sarkozy a raté son pari : celui de conduire la droite pour la présidentielle 2017. L’ancien chef de l’Etat a été éliminé au premier tour de la primaire de la droite et du centre (21 %) dont le premier tour a été organisé dimanche 20 novembre.
Le candidat qui en sort grand gagnant n’est pas le maire de Bordeaux Alain Juppé (28 %), à la surprise générale mais François Fillon (44 %), qui fut le Premier ministre de Nicolas Sarkozy. « Depuis des mois et des mois, je trace mon sillon sérieusement, calmement. Je ne dévie pas dans ma marche. Autour de nous, une dynamique puissante est enclenchée », s'est-il félicité.
En revanche, sans surprise, les quatre autres candidats sont arrivés loin derrière : Nathalie Kozciusko-Morizet (2,5 %), Bruno Le Maire (2,4 %), Jean-Frédéric Poisson (1,4 %) et François Copé (0,3 %).
Le second tour de la primaire, une formalité pour François Fillon ? Ce dernier bénéficie désormais du soutien affirmé de Nicolas Sarkozy et de Bruno Le Maire. Nathalie Kozciusko-Morizet a choisi de soutenir Alain Juppé. « C'est un combat projet contre projet qui s'engage. J'ai décidé de continuer le combat », a fait savoir le candidat.
La mobilisation pour cette élection partisane a été forte. Plus de 4 millions de personnes se sont déplacées dans les plus de 10 000 bureaux de vote ouverts à l’occasion. Avec des frais de participation de 2 euros pour chaque participant, Les Républicains devraient avoir collecté plus de 8 millions d'euros qui financeront l'organisation de la primaire. Le second tour est prévu pour dimanche 27 novembre.
Le candidat qui en sort grand gagnant n’est pas le maire de Bordeaux Alain Juppé (28 %), à la surprise générale mais François Fillon (44 %), qui fut le Premier ministre de Nicolas Sarkozy. « Depuis des mois et des mois, je trace mon sillon sérieusement, calmement. Je ne dévie pas dans ma marche. Autour de nous, une dynamique puissante est enclenchée », s'est-il félicité.
En revanche, sans surprise, les quatre autres candidats sont arrivés loin derrière : Nathalie Kozciusko-Morizet (2,5 %), Bruno Le Maire (2,4 %), Jean-Frédéric Poisson (1,4 %) et François Copé (0,3 %).
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