Sur le vif
Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a appelé, lundi 8 juillet, les deux camps en Syrie à observer une trêve pour le mois sacré du ramadan. Dans un long message, il a d'abord adressé « ses félicitations et ses bons vœux » au monde musulman, qui démarre le Ramadan, mercredi 10 juillet.
Ban Ki-moon a ensuite indiqué avoir une « pensée particulière pour la Syrie et son peuple », qui connaissent leur troisième Ramadan sous la guerre. Rappelant la tradition musulmane d'une trêve des conflits pendant ce mois sacré, il a appelé « toutes les parties en Syrie à respecter cette obligation religieuse pour un mois au minimum ».
Il souhaite que l’armée de Bachar al-Assad, les rebelles « ainsi que toute personne tenant un fusil s'arrêtent de combattre et dédient ce mois de paix en offrande collective au peuple syrien ». Mais le secrétaire général de l’ONU concède que cet appel « peut paraître irréaliste à certains » et souligne « qu'une paix durable ne pourra venir que d'une négociation sérieuse » entre les deux camps.
« J'espère ardemment que la conférence de Genève sur la Syrie aura lieu dans un avenir pas trop lointain avec la participation de délégations représentant le gouvernement et l'opposition », a-t-il ajouté à ce sujet. Initialement prévue en juin, cette conférence voulue par la Russie et les Etats-Unis a été repoussée.
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Ban Ki-moon a ensuite indiqué avoir une « pensée particulière pour la Syrie et son peuple », qui connaissent leur troisième Ramadan sous la guerre. Rappelant la tradition musulmane d'une trêve des conflits pendant ce mois sacré, il a appelé « toutes les parties en Syrie à respecter cette obligation religieuse pour un mois au minimum ».
Il souhaite que l’armée de Bachar al-Assad, les rebelles « ainsi que toute personne tenant un fusil s'arrêtent de combattre et dédient ce mois de paix en offrande collective au peuple syrien ». Mais le secrétaire général de l’ONU concède que cet appel « peut paraître irréaliste à certains » et souligne « qu'une paix durable ne pourra venir que d'une négociation sérieuse » entre les deux camps.
« J'espère ardemment que la conférence de Genève sur la Syrie aura lieu dans un avenir pas trop lointain avec la participation de délégations représentant le gouvernement et l'opposition », a-t-il ajouté à ce sujet. Initialement prévue en juin, cette conférence voulue par la Russie et les Etats-Unis a été repoussée.
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