Environ 140 tués. Les derniers bilans, en provenance de la Syrie sont édifiants. Depuis dimanche 31 juillet, le régime de Bachar Al-Assad mène la campagne de répression la plus sanglante depuis le début de la contestation au mois de mars dernier. L’attaque la plus meurtrière a eu lieu dimanche, à la veille du Ramadan, principalement dans la ville d’Hama, centre nerveux de la contestation. Les activistes font état de dizaines de morts et dénoncent des tirs réalisées « au hasard », destinés à semer la panique dans le mouvement et auprès de la population.
Au premier jour du Ramadan, les chars de l’armée syrienne ont repris leur offensive, ajoutant une vingtaine de morts au bilan. Deux jours sanglants qui ont provoqué une vague d’indignation parmi la communauté internationale. Lundi, le Conseil de sécurité de l’Onu tenait une réunion d’urgence sur la répression syrienne, sans résultats concrets.
Bachar Al-Assad fêtait également ce jour là le 66ème anniversaire de la création de l’armée syrienne. Une occasion pour lui de rappeler sa position officielle sur les activistes : « nous pouvons faire échouer ce nouvel épisode du complot bien ourdi, qui vise à morceler la Syrie, en prélude à la division de la région entière », a-t-il déclaré.
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