Une ligne La Mecque-Djeddah-Médine
Le roi Abdallah d'Arabie saoudite a donné, hier, son feu vert à la réalisation d'une ligne de train à grande vitesse (TGV) qui reliera La Mecque, Djeddah et Médine.
Ce projet sera financé par des fonds d'investissement saoudiens conformément à une décision du souverain, selon l'agence officielle Spa.
Le gouvernement saoudien avait annoncé, en avril 2007, avoir passé trois contrats, d'une valeur totale de 1,9 milliard de dollars, pour la réalisation d'un réseau ferroviaire, long de 1.766 km dans le royaume.
Le roi Abdallah d'Arabie saoudite a donné, hier, son feu vert à la réalisation d'une ligne de train à grande vitesse (TGV) qui reliera La Mecque, Djeddah et Médine.
Ce projet sera financé par des fonds d'investissement saoudiens conformément à une décision du souverain, selon l'agence officielle Spa.
Le gouvernement saoudien avait annoncé, en avril 2007, avoir passé trois contrats, d'une valeur totale de 1,9 milliard de dollars, pour la réalisation d'un réseau ferroviaire, long de 1.766 km dans le royaume.
Soulager les pèlerins
Ce projet a été envisagé depuis des années pour soulager les millions de pèlerins qui effectuent chaque année le haj (le grand pèlerinage) ou la Omra (petit pèlerinage), rite effectué tout au long de l’année.
Le TGV roulera à 300 km/h, ce qui permettra aux passagers d'effectuer le trajet La Mecque/Djeddah en une demi-heure et Djeddah/Médine en 2 heures, a indiqué le ministre du Transport, Jebarah Al-Souraissi, président de l'organisme public des chemins de fer d'Arabie.
Pour l’heure le ministre n’a précisé ni le coût de ce projet, ni le calendrier de sa réalisation.
Ce projet a été envisagé depuis des années pour soulager les millions de pèlerins qui effectuent chaque année le haj (le grand pèlerinage) ou la Omra (petit pèlerinage), rite effectué tout au long de l’année.
Le TGV roulera à 300 km/h, ce qui permettra aux passagers d'effectuer le trajet La Mecque/Djeddah en une demi-heure et Djeddah/Médine en 2 heures, a indiqué le ministre du Transport, Jebarah Al-Souraissi, président de l'organisme public des chemins de fer d'Arabie.
Pour l’heure le ministre n’a précisé ni le coût de ce projet, ni le calendrier de sa réalisation.