Sur le vif
Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté en faveur des Rohingyas à Grozny à l'appel du président tchétchène Ramzan Kadyrov.
A l'appel du président tchétchène Ramzan Kadyrov, des milliers de personnes ont manifesté, lundi 4 septembre, dans les rues de Grozny, en Tchétchénie, contre les exactions dont sont victimes les Rohingyas.
Les organisateurs de cette démonstration de soutien ont même revendiqué la présence d'un million de manifestants. A noter, la Tchétchénie, république rattachée à la Russie, compte 1,4 million d'habitants dont quelque 300 000 à Grozny. La manifestation a néanmoins bien attiré des dizaines de milliers de personnes comme en témoignent des images diffusées de la place de la mosquée centrale de Grozny, noire de monde, depuis laquelle plusieurs personnalités dont le président tchétchène ont fait des interventions.
Ramzan Kadyrov, fidèle soutien à Vladimir Poutine, a dénoncé un génocide en cours en Birmanie et a fait savoir qu'il serait prêt à s'opposer au gouvernement russe si celui-ci réaffirmait son soutien à la Birmanie, exprimant ainsi publiquement une rare divergence avec Moscou.
La veille, jusqu'à un millier de personnes, majoritairement musulmans, se sont rassemblées dimanche 3 septembre près de l'ambassade de Birmanie dans la capitale russe.
Lire aussi :
Crise des Rohingyas : l’attitude d'Aung San Suu Kyi vertement critiquée
Les organisateurs de cette démonstration de soutien ont même revendiqué la présence d'un million de manifestants. A noter, la Tchétchénie, république rattachée à la Russie, compte 1,4 million d'habitants dont quelque 300 000 à Grozny. La manifestation a néanmoins bien attiré des dizaines de milliers de personnes comme en témoignent des images diffusées de la place de la mosquée centrale de Grozny, noire de monde, depuis laquelle plusieurs personnalités dont le président tchétchène ont fait des interventions.
Ramzan Kadyrov, fidèle soutien à Vladimir Poutine, a dénoncé un génocide en cours en Birmanie et a fait savoir qu'il serait prêt à s'opposer au gouvernement russe si celui-ci réaffirmait son soutien à la Birmanie, exprimant ainsi publiquement une rare divergence avec Moscou.
La veille, jusqu'à un millier de personnes, majoritairement musulmans, se sont rassemblées dimanche 3 septembre près de l'ambassade de Birmanie dans la capitale russe.
Lire aussi :
Crise des Rohingyas : l’attitude d'Aung San Suu Kyi vertement critiquée
Qui sommes-nous ?
