Lundi 26 août vers 19h, Aissatou N. s'est défenestrée du quatrième étage de son immeuble. Elle est actuellement hospitalisée dans un hôpital de la région parisienne.
Fort heureusement, et contrairement à ce qui a été annoncé sur certains sites de presse, son pronostic vital n'est pas engagé.
Selon son propre témoignage confirmé par des proches, des pressions auraient été commis de la part d'officiers de police sur la jeune fille : la police l'aurait ainsi convoqué ("régulièrement" ?) au commissariat au sujet de son affaire en l'appelant directement sur son téléphone portable. Elle aurait ainsi été également traité de "menteuse", et, à plusieurs reprises, sa version aurait été vigoureusement remise en cause.
La police a aussi convoqué ses amies proches mineures directement par téléphone en leur demandant de se présenter à Versailles.
Le CCIF s'interroge sur les méthodes employées par les forces de police et demande qu'une enquête soit ouverte afin de déterminer les éventuelles responsabilités dans cette affaire.
Est-ce la situation difficile d'une victime d'agression et les pressions exercées sur cette jeune fille qui avait plutôt besoin d'aide et de soutien psychologique, qui ont entrainé son malheureux geste ?
Le CCIF la soutient ainsi que sa famille, et espère qu'elle se rétablira rapidement. Nous les assurons de notre entier soutien et resterons près d'eux pour leur permettre de faire toute la lumière sur ce qui pourrait être une affaire dans l'affaire.
Fort heureusement, et contrairement à ce qui a été annoncé sur certains sites de presse, son pronostic vital n'est pas engagé.
Selon son propre témoignage confirmé par des proches, des pressions auraient été commis de la part d'officiers de police sur la jeune fille : la police l'aurait ainsi convoqué ("régulièrement" ?) au commissariat au sujet de son affaire en l'appelant directement sur son téléphone portable. Elle aurait ainsi été également traité de "menteuse", et, à plusieurs reprises, sa version aurait été vigoureusement remise en cause.
La police a aussi convoqué ses amies proches mineures directement par téléphone en leur demandant de se présenter à Versailles.
Le CCIF s'interroge sur les méthodes employées par les forces de police et demande qu'une enquête soit ouverte afin de déterminer les éventuelles responsabilités dans cette affaire.
Est-ce la situation difficile d'une victime d'agression et les pressions exercées sur cette jeune fille qui avait plutôt besoin d'aide et de soutien psychologique, qui ont entrainé son malheureux geste ?
Le CCIF la soutient ainsi que sa famille, et espère qu'elle se rétablira rapidement. Nous les assurons de notre entier soutien et resterons près d'eux pour leur permettre de faire toute la lumière sur ce qui pourrait être une affaire dans l'affaire.