Dati Kouch est un homme au grand cœur. Ses vacances, ce patron d’un salon de coiffure de La Roche-sur-Yon (Vendée) a décidé de les passer pendant une semaine à Paris afin donner un visage plus radieux à des sans-abris.
« A la maison, on était onze enfants et mes parents sont arrivés du Cambodge avec rien, sauf le sens du travail et de l’entraide. Je ne supporte pas l’idée de laisser la misère perdurer sans rien faire, mais à part la passion de mon métier, qu’est ce que je peux apporter ? Un jour, j’avais vu un reportage sur un coiffeur américain qui fait ça à New York tous les dimanches… ça a fait tilt », raconte-t-il au Parisien.
Ce coiffeur américain est Mark Bustos. Depuis 2012, le jeune homme, qui travaille dans un salon branché de New York, parcourt la ville tous les dimanches, son jour de congé hebdomadaire, pour proposer gracieusement ses services aux SDF.
« Si, un jour, je suis dans le besoin, j’aimerais qu’on me tende la main. Alors pour l’instant, c’est mon tour, sourit Dati Kouch. Peut-être que mon projet donnera des idées à d’autres ? Des coiffeurs, des restaurateurs… après tout, le principe est adaptable ! », lance-t-il. Chaque geste compte. Inspiration garantie.
« A la maison, on était onze enfants et mes parents sont arrivés du Cambodge avec rien, sauf le sens du travail et de l’entraide. Je ne supporte pas l’idée de laisser la misère perdurer sans rien faire, mais à part la passion de mon métier, qu’est ce que je peux apporter ? Un jour, j’avais vu un reportage sur un coiffeur américain qui fait ça à New York tous les dimanches… ça a fait tilt », raconte-t-il au Parisien.
Ce coiffeur américain est Mark Bustos. Depuis 2012, le jeune homme, qui travaille dans un salon branché de New York, parcourt la ville tous les dimanches, son jour de congé hebdomadaire, pour proposer gracieusement ses services aux SDF.
« Si, un jour, je suis dans le besoin, j’aimerais qu’on me tende la main. Alors pour l’instant, c’est mon tour, sourit Dati Kouch. Peut-être que mon projet donnera des idées à d’autres ? Des coiffeurs, des restaurateurs… après tout, le principe est adaptable ! », lance-t-il. Chaque geste compte. Inspiration garantie.