Pour son enfant, on rêve souvent d’un prénom original. Mais des parents de Romans-sur-Isère (Drôme) sont allés trop loin. Ils ont choisi d’appeler leur fille née le 29 mars « L’Algérie la véritée », révèle cette semaine le Dauphiné Libéré.
Pourquoi un tel prénom ? « Je veux prouver qu’en France il y a du racisme. Et moi, j’en ai fait les frais depuis ces dix dernières années », explique Brahim le papa de l’enfant qui a fait ce choix en réponse aux « années de galère » qu’il a connu en France. Installé à Romans avec son épouse depuis 2001, il assure ne pas avoir cessé d’« être surveillé par la justice. Une justice qui croit que je suis un terroriste ! ».
D’origine algérienne, le couple avait déjà « tenté » le coup pour leurs précédents enfants, précise le journal local. Leur nouvelle tentative est sous le coup d'un recours déposé devant le procureur de la République. Donner à sa progéniture un prénom aussi farfelu peut effectivement être annulé par la justice, qui tient compte de l’intérêt de l’enfant. Dans son dégoût de la France, Brahim n’a visiblement pas pensé à la difficulté pour sa fille de vivre avec un tel prénom. Avec sa famille, ils sont retournés vivre en Algérie.
Lire aussi :
Malek, Alice, Malika : les 50 prénoms interdits en Arabie Saoudite
Changer de prénom ou choisir un prénom franco-arabe : des réponses aux discriminations ?
Pourquoi un tel prénom ? « Je veux prouver qu’en France il y a du racisme. Et moi, j’en ai fait les frais depuis ces dix dernières années », explique Brahim le papa de l’enfant qui a fait ce choix en réponse aux « années de galère » qu’il a connu en France. Installé à Romans avec son épouse depuis 2001, il assure ne pas avoir cessé d’« être surveillé par la justice. Une justice qui croit que je suis un terroriste ! ».
D’origine algérienne, le couple avait déjà « tenté » le coup pour leurs précédents enfants, précise le journal local. Leur nouvelle tentative est sous le coup d'un recours déposé devant le procureur de la République. Donner à sa progéniture un prénom aussi farfelu peut effectivement être annulé par la justice, qui tient compte de l’intérêt de l’enfant. Dans son dégoût de la France, Brahim n’a visiblement pas pensé à la difficulté pour sa fille de vivre avec un tel prénom. Avec sa famille, ils sont retournés vivre en Algérie.
Lire aussi :
Malek, Alice, Malika : les 50 prénoms interdits en Arabie Saoudite
Changer de prénom ou choisir un prénom franco-arabe : des réponses aux discriminations ?