Révélé par le journal Le Parisien du 25 février, un projet de groupe scolaire privé musulman a été lancé par les responsables de la mosquée de Chelles, en Seine-et-Marne.
Selon le quotidien, les protagonistes s’activent depuis le mois de novembre dernier pour informer les gens et réunir les fonds nécessaires au projet. Celui-ci abriterait « des classes de primaire, de collège et de lycée, ouvert à tous mais dispensant aussi des cours traditionnels sur les valeurs de l’Islam ».
Edouard le Breton, l’avocat de la mosquée, a indiqué au journal qu’il s’agissait de construire « une école du même type que celles qui existent, en nombre et avec succès, chez les catholiques (…) L’ambition est que ce groupe scolaire soit, à terme, complet et sous contrat avec l’Education nationale. »
Selon le président de l’association gestionnaire de la mosquée, Driss Ghinimi, le projet semble susciter de l’enthousiasme : « Nous avons reçu des réponses par milliers, avec des dons très variables, de l’euro symbolique à 5000 € (…) Des couples encore non mariés nous appellent même pour préinscrire leurs futurs enfants ! ».
Le lieu de ce futur groupe scolaire n’est pas encore arrêté. Driss Ghinimi expliquait au Parisien qu’il existe « deux possibilités de terrains, l’un public, l’autre privé » mais que « Rien n’est encore abouti ». Les représentants musulmans auraient déjà rencontré le maire de Chelles, Jean-Paul Planchou. Celui-ci précise néanmoins le caractère « privé » du projet sur lequel « la municipalité n’a pas à se prononcer » et souligne que « la prospection concerne l’ensemble du territoire de la communauté d’agglomération Marne et Chantereine ». L’association de la mosquée aurait déjà repéré un terrain propice à leur projet.
Toujours selon le journal, la mosquée pourrait créer « prochainement, des classes maternelles dans un bâtiment proche du lieu de culte, voire dans les pièces attenantes à la salle de prière ».
Selon le quotidien, les protagonistes s’activent depuis le mois de novembre dernier pour informer les gens et réunir les fonds nécessaires au projet. Celui-ci abriterait « des classes de primaire, de collège et de lycée, ouvert à tous mais dispensant aussi des cours traditionnels sur les valeurs de l’Islam ».
Edouard le Breton, l’avocat de la mosquée, a indiqué au journal qu’il s’agissait de construire « une école du même type que celles qui existent, en nombre et avec succès, chez les catholiques (…) L’ambition est que ce groupe scolaire soit, à terme, complet et sous contrat avec l’Education nationale. »
Selon le président de l’association gestionnaire de la mosquée, Driss Ghinimi, le projet semble susciter de l’enthousiasme : « Nous avons reçu des réponses par milliers, avec des dons très variables, de l’euro symbolique à 5000 € (…) Des couples encore non mariés nous appellent même pour préinscrire leurs futurs enfants ! ».
Le lieu de ce futur groupe scolaire n’est pas encore arrêté. Driss Ghinimi expliquait au Parisien qu’il existe « deux possibilités de terrains, l’un public, l’autre privé » mais que « Rien n’est encore abouti ». Les représentants musulmans auraient déjà rencontré le maire de Chelles, Jean-Paul Planchou. Celui-ci précise néanmoins le caractère « privé » du projet sur lequel « la municipalité n’a pas à se prononcer » et souligne que « la prospection concerne l’ensemble du territoire de la communauté d’agglomération Marne et Chantereine ». L’association de la mosquée aurait déjà repéré un terrain propice à leur projet.
Toujours selon le journal, la mosquée pourrait créer « prochainement, des classes maternelles dans un bâtiment proche du lieu de culte, voire dans les pièces attenantes à la salle de prière ».