Le think tank Institut Montaigne a rendu public, mardi 4 octobre, une enquête sur les « Banlieue de la république » dirigée par le politologue Gilles Kepel. Les résultats de cette étude font actuellement le tour de la toile.
L'auteur s'est rendu dans les cités de la Seine-Saint-Denis, à Clichy-sous-Bois et à Montfermeil, cinq après les émeutes de 2005 et 25 ans après son livre « Les Banlieues de l'islam ».
Le constat principal de Gilles Kepel est, que dans les banlieues populaires, l'islam est, de plus en plus, un facteur de cohésion au détriment de la référence à la République. Une pratique religieuse qui se développerait pour « compenser » certaines frustrations des habitants de banlieues, selon le politologue.
Retrouvez l'enquête en intégralité ici
Lire aussi :
La banlieue, le bouc émissaire tout désigné d’une classe politique en mal de projets !
Les Banlieues de l'Islam: Ce qui n'est pas dit
Le 11 Septembre, civilisés contre barbares?
L'auteur s'est rendu dans les cités de la Seine-Saint-Denis, à Clichy-sous-Bois et à Montfermeil, cinq après les émeutes de 2005 et 25 ans après son livre « Les Banlieues de l'islam ».
Le constat principal de Gilles Kepel est, que dans les banlieues populaires, l'islam est, de plus en plus, un facteur de cohésion au détriment de la référence à la République. Une pratique religieuse qui se développerait pour « compenser » certaines frustrations des habitants de banlieues, selon le politologue.
Retrouvez l'enquête en intégralité ici
Lire aussi :
La banlieue, le bouc émissaire tout désigné d’une classe politique en mal de projets !
Les Banlieues de l'Islam: Ce qui n'est pas dit
Le 11 Septembre, civilisés contre barbares?