Des majestueux exemplaires du Livre saint vénéré des musulmans sont exposés depuis samedi 22 octobre au Freer Sackler Gallery, un musée d'art asiatique et proche-oriental situé à Washington.
Ouverte au public jusqu’au 20 février 2017, l’exposition « L’art du Coran » présente une soixante d’exemplaires du Coran et de textes coraniques, des manuscrits datés du VIIe au XVIIe siècle qui ont été prêtés pour la plupart par le Musée des arts turcs et islamiques située à Istanbul, en Turquie. Des trésors d’histoire qui permettent d’apprécier la diversité de même que l’étendue du travail d’orfèvre réalisé par des scribes et des calligraphes de talent sur des supports de toute taille, des plus grands aux plus petits.
Ouverte au public jusqu’au 20 février 2017, l’exposition « L’art du Coran » présente une soixante d’exemplaires du Coran et de textes coraniques, des manuscrits datés du VIIe au XVIIe siècle qui ont été prêtés pour la plupart par le Musée des arts turcs et islamiques située à Istanbul, en Turquie. Des trésors d’histoire qui permettent d’apprécier la diversité de même que l’étendue du travail d’orfèvre réalisé par des scribes et des calligraphes de talent sur des supports de toute taille, des plus grands aux plus petits.
« Une formidable opportunité de dialogue entre les cultures »
Il s’agit de la première exposition majeure dédiée au Coran aux Etats-Unis. Initialement prévue en 2014, elle n’a pas ouvrir au public plus tôt, indique le musée. Cette initiative, qui montre une des nombreuses facettes des arts islamiques, prend place dans un contexte où l’islamophobie s’est fortement développée ces derniers mois dans le pays à travers la campagne de Donald Trump. Le fait que l’exposition ait lieu dans la capitale américaine, non loin de la Maison Blanche, est des plus symboliques.
« Notre mission étant de promouvoir et diffuser la connaissance, elle ouvre à un moment opportun pour permettre au public américain d'avoir une autre image de l'islam », souligne auprès de l'AFP Simon Retting, commissaire adjoint de l'exposition pour qui l’initiative est « une formidable opportunité de dialogue entre les cultures ». « Que le savoir l'emporte sur l'ignorance », espère pour sa part Richard Kurin, responsable de la Smithsonian, institution qui gère la plupart des musées de Washington. Un vœu ici partagé.
« Notre mission étant de promouvoir et diffuser la connaissance, elle ouvre à un moment opportun pour permettre au public américain d'avoir une autre image de l'islam », souligne auprès de l'AFP Simon Retting, commissaire adjoint de l'exposition pour qui l’initiative est « une formidable opportunité de dialogue entre les cultures ». « Que le savoir l'emporte sur l'ignorance », espère pour sa part Richard Kurin, responsable de la Smithsonian, institution qui gère la plupart des musées de Washington. Un vœu ici partagé.
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