Véronique Genest a offert, samedi 9 mars, aux téléspectateurs de France 2 un spectacle pathétique sur le plateau de « On n’est pas couché » (ONPC). L’interprète de Julie Lescaut était l’invitée de Laurent Ruquier après avoir annoncé, quelques jours plus tôt, sa volonté de se lancer en politique en choisissant d’être la suppléante de Jonathan-Simon Sellem, directeur du journal radical israélien JSSNews.
Celui-ci a en effet choisi de se présenter à l’élection législative partielle dans la 8e circonscription des Français de l’Etranger après l'invalidation de l’élection en juin 2012 de la députée PS Daphna Poznanski-Benhamou.
Les deux chroniqueurs de ONPC, Natacha Polony et Aymeric Caron, n'ont pas eu besoin de creuser profond pour se rendre compte du vide de la pensée de Véronique Genest, qui ne pouvait citer aucune source fiable pour appuyer ses théories fumeuses sur les musulmans – qui seraient « les plus grands massacreurs et colonisateurs » de l’Histoire - et les Palestiniens, qui aiment leur vie de peuple occupé et oppressé selon elle.
Déstabilisée à de nombreuses reprises, elle répond être « fatiguée » pour se justifier. Véronique Genest n’est rien de plus qu’« une vitrine médiatique » au service de Jonathan-Simon Sellem, qui n'a rien de plus à offrir que sa notoriété en France. Face aux questions insistantes des chroniqueurs auxquelles elle ne s'est absolument pas préparée, elle ne cesse de dire qu’il faudrait interroger son candidat. Pas faux : ce dernier était bien dans les coulisses. Mais France 2 a préféré l'actrice - qui ne joue pas son rôle de sioniste islamophobe - sur lui.
Elle dit ne pas être une femme politique. Encore heureux : quand bien même elle le voudrait, elle s’est bel et bien décrédibilisée, la vidéo en atteste. La politique n'est pas un jeu, a rappelé à juste titre Aymeric Caron.
Celui-ci a en effet choisi de se présenter à l’élection législative partielle dans la 8e circonscription des Français de l’Etranger après l'invalidation de l’élection en juin 2012 de la députée PS Daphna Poznanski-Benhamou.
Les deux chroniqueurs de ONPC, Natacha Polony et Aymeric Caron, n'ont pas eu besoin de creuser profond pour se rendre compte du vide de la pensée de Véronique Genest, qui ne pouvait citer aucune source fiable pour appuyer ses théories fumeuses sur les musulmans – qui seraient « les plus grands massacreurs et colonisateurs » de l’Histoire - et les Palestiniens, qui aiment leur vie de peuple occupé et oppressé selon elle.
Déstabilisée à de nombreuses reprises, elle répond être « fatiguée » pour se justifier. Véronique Genest n’est rien de plus qu’« une vitrine médiatique » au service de Jonathan-Simon Sellem, qui n'a rien de plus à offrir que sa notoriété en France. Face aux questions insistantes des chroniqueurs auxquelles elle ne s'est absolument pas préparée, elle ne cesse de dire qu’il faudrait interroger son candidat. Pas faux : ce dernier était bien dans les coulisses. Mais France 2 a préféré l'actrice - qui ne joue pas son rôle de sioniste islamophobe - sur lui.
Elle dit ne pas être une femme politique. Encore heureux : quand bien même elle le voudrait, elle s’est bel et bien décrédibilisée, la vidéo en atteste. La politique n'est pas un jeu, a rappelé à juste titre Aymeric Caron.