Ali Ziri.
Le marathon judiciaire se poursuit pour la famille d'Ali Ziri, le retraité algérien mort des suites d’un contrôle de police musclé en 2009, à Argenteuil. Ses proches ont déposé un nouveau pourvoi en cassation, après la confirmation le 13 décembre de l’ordonnance de non-lieu rendue en 2012 par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Rennes.
La décision a une nouvelle fois douché les espoirs de la famille d’Ali Ziri, comme le rapporte 20 Minutes. Les précédentes décisions judiciaires avaient pourtant redonné espoir à ses proches. En février 2014, la Cour de cassation a annulé le non-lieu rendu dans l’affaire. Une première victoire pour la famille, qui attendait un nouveau procès. Au mois de novembre, le parquet général de Rennes se prononce pour une relance de l’enquête, validant ainsi la décision rendue par la Cour de cassation d'annuler le non-lieu.
En octobre 2012, après trois ans d’enquête, le juge d’instruction de Pontoise a prononcé un non-lieu, refusant de poursuivre les policiers qui ont interpellés Ali Ziri. Selon le juge, l’enquête n’avoir pu faire état d’« aucun acte de violence volontaire qui aurait été la cause directe ou indirecte du décès ». Une version que n’a eu de cesse de contester la famille du retraité, pour qui le combat continue.
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En octobre 2012, après trois ans d’enquête, le juge d’instruction de Pontoise a prononcé un non-lieu, refusant de poursuivre les policiers qui ont interpellés Ali Ziri. Selon le juge, l’enquête n’avoir pu faire état d’« aucun acte de violence volontaire qui aurait été la cause directe ou indirecte du décès ». Une version que n’a eu de cesse de contester la famille du retraité, pour qui le combat continue.
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