Sur le vif
« Vivre ou mourir ensemble », le nouveau titre de Kery James mis en ligne vendredi 8 janvier.
« Vivre ou mourir ensemble. » Un an après les premiers attentats qui ont secoué la France, le message que martèle Kery James dans son nouveau titre est limpide. Le rappeur engagé signe un vibrant retour sur la scène musicale avec cette chanson, accompagnée de son clip, mis en ligne vendredi 8 janvier.
Ce sont les attentats du 13 novembre 2015 qui ont poussé le rappeur à écrire cette chanson, a-t-il fait savoir dans un message posté dans les réseaux sociaux, suivi d’un autre qui avait été posté au lendemain des attaques à Paris, particulièrement au Bataclan où se trouvaient deux de ses connaissances. « Heureusement, ils sont sains et saufs. Plus encore, ils ont permis de sauver une centaine de vies humaines. Je salue leur courage et leur dévouement », avait-il alors souligné.
« Après ce drame choquant, traumatisant et après l'émotion, chacun d'entre nous va devoir faire face à un défi majeur pour l'avenir de ce pays. Nous allons devoir choisir entre l'unité et la division souhaitée par les extrémistes de tous bords », avait aussi écrit Kery James dans son message de solidarité et de compassion à l’égard des victimes du terrorisme.
Son titre est un appel à ne pas céder aux divisions ainsi qu'à la haine qui « nous fait du pied, nous propose une danse, mortelle et rythmée, au tempo de nos vengeances ». Il s’insurge aussi bien « des chefs d'orchestres sordides (qui) instrumentalisent nos peines », des dirigeants et « leur politique extérieure nous fait saigner de l'intérieur » que des « racistes décomplexés qui conceptualisent la haine », notamment à l’égard des musulmans pour qui il trouve aussi un mot dans la chanson.
Pour conclure le clip dont le titre rappelle une célèbre phrase de Malcolm X (« Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots »), un appel à l'engagement est lancé avec cette phrase : « Il appartient à chaque citoyen d’apporter sa pierre à l’édifice pour améliorer la société et le vivre ensemble dans son quotidien. » A méditer.
Ce sont les attentats du 13 novembre 2015 qui ont poussé le rappeur à écrire cette chanson, a-t-il fait savoir dans un message posté dans les réseaux sociaux, suivi d’un autre qui avait été posté au lendemain des attaques à Paris, particulièrement au Bataclan où se trouvaient deux de ses connaissances. « Heureusement, ils sont sains et saufs. Plus encore, ils ont permis de sauver une centaine de vies humaines. Je salue leur courage et leur dévouement », avait-il alors souligné.
« Après ce drame choquant, traumatisant et après l'émotion, chacun d'entre nous va devoir faire face à un défi majeur pour l'avenir de ce pays. Nous allons devoir choisir entre l'unité et la division souhaitée par les extrémistes de tous bords », avait aussi écrit Kery James dans son message de solidarité et de compassion à l’égard des victimes du terrorisme.
Son titre est un appel à ne pas céder aux divisions ainsi qu'à la haine qui « nous fait du pied, nous propose une danse, mortelle et rythmée, au tempo de nos vengeances ». Il s’insurge aussi bien « des chefs d'orchestres sordides (qui) instrumentalisent nos peines », des dirigeants et « leur politique extérieure nous fait saigner de l'intérieur » que des « racistes décomplexés qui conceptualisent la haine », notamment à l’égard des musulmans pour qui il trouve aussi un mot dans la chanson.
Pour conclure le clip dont le titre rappelle une célèbre phrase de Malcolm X (« Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots »), un appel à l'engagement est lancé avec cette phrase : « Il appartient à chaque citoyen d’apporter sa pierre à l’édifice pour améliorer la société et le vivre ensemble dans son quotidien. » A méditer.
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