Les massacres du 17 octobre 1961 restent une plaie ouverte entre la France et l’Algérie. Des décennies ont passé mais le crime d’Etat est encore occulté par une large partie de la classe politique française. La reconnaissance pleine et entière - au-delà de celle entamée par François Hollande - de cette tragédie, comparée à la rafle du Vel d’Hiv survenue en 1942 contre les juifs de Paris, demeure une des revendications centrales des associations mémorielles.
« On ne construit pas la démocratie sur des mensonges et des occultations. Après plus d'un demi-siècle, il est temps que le Président de la République, au nom de la France, confirme, par un geste symbolique, la reconnaissance et la condamnation de ce crime d'Etat ; (…) que la liberté d’accès aux archives soit effective pour tous, historiens et citoyens ; que la recherche historique sur ces questions soit encouragée, dans un cadre franco-algérien, international et indépendant », réclame le Collectif du 17 octobre 1961 auprès d’Emmanuel Macron dans une lettre ouverte.
Un reportage diffusé sur Antenne 2 en 1991, trente ans après la répression, rappelle les violences policières menées contre les Algériens par l’Etat français, représenté à cette époque mitterrandienne par la ministre de l'Intérieur Roger Frey, et le préfet de police Maurice Papon. « L'une des pages les plus sombres de l'histoire de la Ve République » ici racontée.
« On ne construit pas la démocratie sur des mensonges et des occultations. Après plus d'un demi-siècle, il est temps que le Président de la République, au nom de la France, confirme, par un geste symbolique, la reconnaissance et la condamnation de ce crime d'Etat ; (…) que la liberté d’accès aux archives soit effective pour tous, historiens et citoyens ; que la recherche historique sur ces questions soit encouragée, dans un cadre franco-algérien, international et indépendant », réclame le Collectif du 17 octobre 1961 auprès d’Emmanuel Macron dans une lettre ouverte.
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