Pour la troisième édition, le Festival Palest’In & Out, fondé à l’initiative de l’Institut culturel franco-palestinien (ICFP), fait son retour à Paris. L’évènement, qui verra défiler des concerts, des performances, des débats et des projections, se tiendra du vendredi 22 au samedi 30 juin avec la participation d’artistes lauréats de l’édition 2018, à l’instar de « Rana Samara (arts visuels), Aida Ka’adan (cinéma), Yazan Iwidat (danse contemporaine) et Rasha Nahas (musique) », indique l’ICFP.
Apporter un nouveau regard sur la Palestine
L’ambition de l’ICFP, organisatrice de l’évènement, pour cette année, consiste à « bouleverser les clichés médiatiques ». En effet, dans l’objectif de présenter une autre image de la Palestine, outre celle qui est dépeinte par les médias qui l’associe systématiquement aux termes « conflits », « guerre », « blessés », « morts », l’Institut veut présenter une « autre histoire à raconter, un autre visage à dévoiler ».
C’est dans cette optique que les différentes activités artistiques et culturelles seront organisées afin d’« aborder les racines africaines de la Palestine, proposer de décoloniser les esprits à travers l’architecture et le design, considérer la construction d’un État commun, lever le voile sur la place de la femme et son intimité dans les camps de réfugiés, refuser les étiquettes, assumer la pluralité de son identité, dévoiler de nouvelles façons de résister ».
Du 22 au 30 juin, le Théâtre national de Chaillot, l’Institut des cultures d’Islam, l’auditorium de l’Institut du monde arabe, La Colonie, le FGO Barbara, la Maison de la Poésie et le Petit Bain accueilleront des spectacles de danse, des concerts, des projections, des représentations culinaires, des débats et bien d’autres prestations spécialement choisies pour honorer l’objectif du festival, décrit par sa directrice, Amina Hamshari, comme « un véritable révélateur de talents » en soulignant « le rôle de la force créatrice de la scène émergente palestinienne dans cette quête pour la dignité humaine et la liberté en cette année symbolique anniversaire ».
Programme complet ici
C’est dans cette optique que les différentes activités artistiques et culturelles seront organisées afin d’« aborder les racines africaines de la Palestine, proposer de décoloniser les esprits à travers l’architecture et le design, considérer la construction d’un État commun, lever le voile sur la place de la femme et son intimité dans les camps de réfugiés, refuser les étiquettes, assumer la pluralité de son identité, dévoiler de nouvelles façons de résister ».
Du 22 au 30 juin, le Théâtre national de Chaillot, l’Institut des cultures d’Islam, l’auditorium de l’Institut du monde arabe, La Colonie, le FGO Barbara, la Maison de la Poésie et le Petit Bain accueilleront des spectacles de danse, des concerts, des projections, des représentations culinaires, des débats et bien d’autres prestations spécialement choisies pour honorer l’objectif du festival, décrit par sa directrice, Amina Hamshari, comme « un véritable révélateur de talents » en soulignant « le rôle de la force créatrice de la scène émergente palestinienne dans cette quête pour la dignité humaine et la liberté en cette année symbolique anniversaire ».
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