Le passage à la nouvelle année 2014 le plus extravagant fut sans conteste celui de Dubaï. Ce petit émirat du Golfe a mis les petits plats dans les grands lors de la nuit de la Saint-Sylvestre. La Burj Khalifa, la tour la plus haute du monde, a servi de base principale pour lancer ce que Dubaï considère comme le plus grand artifice au monde avec 500 000 feux d'artifice déclenchés en six minutes.
L’émirat a réussi son pari puisqu’il a été homologué dans le Guinness Book des records, mercredi 1er janvier. D’autres sites de Dubaï comme Burj al-Arab, un hôtel présenté comme le plus luxueux du monde, et des îles artificielles ont été réquisitionnés pour contribuer au spectacle.
Son montant n’a pas été dévoilé mais selon la télévision locale, il aurait coûté 6 millions de dollars. Dubaï, qui a obtenu l’organisation de l’Exposition universelle de 2020, ne lésine pas dans les moyens pour se rendre plus attractif.
Tandis qu'en Arabie Saoudite, la police religieuse veille à ce que l'interdiction de fêter le Nouvel an soit respecté, ses voisins ne voient aucun complexe à en faire un événement, nonobstant les critiques contre ce que des musulmans considèrent soit comme une innovation (bida'a), soit comme un nouveau gaspillage de ressources financières.
L’émirat a réussi son pari puisqu’il a été homologué dans le Guinness Book des records, mercredi 1er janvier. D’autres sites de Dubaï comme Burj al-Arab, un hôtel présenté comme le plus luxueux du monde, et des îles artificielles ont été réquisitionnés pour contribuer au spectacle.
Son montant n’a pas été dévoilé mais selon la télévision locale, il aurait coûté 6 millions de dollars. Dubaï, qui a obtenu l’organisation de l’Exposition universelle de 2020, ne lésine pas dans les moyens pour se rendre plus attractif.
Tandis qu'en Arabie Saoudite, la police religieuse veille à ce que l'interdiction de fêter le Nouvel an soit respecté, ses voisins ne voient aucun complexe à en faire un événement, nonobstant les critiques contre ce que des musulmans considèrent soit comme une innovation (bida'a), soit comme un nouveau gaspillage de ressources financières.