En surfant sur mon site favori – celui-là même sur lequel vous êtes en train de me lire −, mes yeux ont bondi sur une annonce Google « Trouvez une femme hallal ». Une semaine jour pour jour après la célébration du centenaire de la Journée internationale de la femme, je découvre que les musulmans, après avoir été des barbares, des intégristes, des terroristes, des misogynes, et plus récemment des emburqadeurs, sont – comble du chic – des cannibales.
Oui, oui, une femme hallal (avec deux « L » s’il vous plaît, on n’est plus à une faute près) est un bon tas de chair bien fraîche, que l’on a égorgée, avec un couteau bien aiguisé, en direction de La Mecque, en ayant préalablement pris soin de prononcer la formule idoine. Bien la cuire, car ingurgiter du sang frais est interdit.
En plus, telle une horde, ces célibataires carnassiers sont au nombre de 350 000. On a le choix pour se faire passer à la casserole ! Vite, je m’inscris ! Saignant ou à point, c’est ça, notre mektoub !
Oui, oui, une femme hallal (avec deux « L » s’il vous plaît, on n’est plus à une faute près) est un bon tas de chair bien fraîche, que l’on a égorgée, avec un couteau bien aiguisé, en direction de La Mecque, en ayant préalablement pris soin de prononcer la formule idoine. Bien la cuire, car ingurgiter du sang frais est interdit.
En plus, telle une horde, ces célibataires carnassiers sont au nombre de 350 000. On a le choix pour se faire passer à la casserole ! Vite, je m’inscris ! Saignant ou à point, c’est ça, notre mektoub !