Sur le vif
Le président palestinien Mahmoud Abbas et la secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice sont convenus mercredi de la nécessité de mettre en place un gouvernement palestinien respectant les demandes de la communauté internationale.
Lors d'une conférence de presse avec M. Abbas après un entretien d'une heure à Ramallah en Cisjordanie, Mme Rice a affirmé que le futur gouvernement palestinien devrait notamment remplir les conditions posées par le Quartette -- Etats-Unis, Europe, Russie et USA -- à savoir reconnaître Israël et les accords israélo-palestiniens passés tout en renonçant à la violence.
Elle a souhaité la mise en place d'un gouvernement "capable de répondre aux besoins du peuple palestinien et qui respecte les principes du Quartette afin de jeter les bases d'un mouvement vers l'objectif auquel nous aspirons tous: une solution basée sur deux Etats démocratiques, la Palestine et Israël, vivant côte à côte".
"Nous avons répété que le programme de tout gouvernement palestinien doit s'appuyer sur la légalité palestinienne, arabe et internationale et respecter pleinement les accords signés par l'Autorité palestinienne et l'OLP", a pour sa part déclaré M. Abbas.
Le président de l'Autorité palestinienne, qui tente depuis plusieurs semaines de constituer un gouvernement d'union nationale, s'est heurté le mois dernier à New York au refus de Washington et de l'Union européenne de reprendre leurs aides financières aux Palestiniens tant que son gouvernement ne reconnaîtrait pas le droit à l'existence d'Israël.
M. Abbas avait assuré à la tribune de l'Onu que "tout nouveau gouvernement palestinien respectera les engagements pris dans les accords par l'OLP et l'Autorité palestinienne", notamment la reconnaissance d'Israël.
Le Hamas avait accepté le 11 septembre un document dit "d'entente nationale" reconnaissant implicitement Israël, mais après ce discours de M. Abbas, les islamistes avaient fait machine arrière.
M. Abbas a affirmé que le dialogue avec le Hamas, actuellement rompu, pour former un gouvernement d'union nationale ne devait pas "s'éterniser". Faute d'un accord "la direction palestinienne devra décider les mesures à prendre pour nous sortir de cette crise", a-t-il affirmé.
Lors d'une conférence de presse avec M. Abbas après un entretien d'une heure à Ramallah en Cisjordanie, Mme Rice a affirmé que le futur gouvernement palestinien devrait notamment remplir les conditions posées par le Quartette -- Etats-Unis, Europe, Russie et USA -- à savoir reconnaître Israël et les accords israélo-palestiniens passés tout en renonçant à la violence.
Elle a souhaité la mise en place d'un gouvernement "capable de répondre aux besoins du peuple palestinien et qui respecte les principes du Quartette afin de jeter les bases d'un mouvement vers l'objectif auquel nous aspirons tous: une solution basée sur deux Etats démocratiques, la Palestine et Israël, vivant côte à côte".
"Nous avons répété que le programme de tout gouvernement palestinien doit s'appuyer sur la légalité palestinienne, arabe et internationale et respecter pleinement les accords signés par l'Autorité palestinienne et l'OLP", a pour sa part déclaré M. Abbas.
Le président de l'Autorité palestinienne, qui tente depuis plusieurs semaines de constituer un gouvernement d'union nationale, s'est heurté le mois dernier à New York au refus de Washington et de l'Union européenne de reprendre leurs aides financières aux Palestiniens tant que son gouvernement ne reconnaîtrait pas le droit à l'existence d'Israël.
M. Abbas avait assuré à la tribune de l'Onu que "tout nouveau gouvernement palestinien respectera les engagements pris dans les accords par l'OLP et l'Autorité palestinienne", notamment la reconnaissance d'Israël.
Le Hamas avait accepté le 11 septembre un document dit "d'entente nationale" reconnaissant implicitement Israël, mais après ce discours de M. Abbas, les islamistes avaient fait machine arrière.
M. Abbas a affirmé que le dialogue avec le Hamas, actuellement rompu, pour former un gouvernement d'union nationale ne devait pas "s'éterniser". Faute d'un accord "la direction palestinienne devra décider les mesures à prendre pour nous sortir de cette crise", a-t-il affirmé.
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