« Africultures est en péril ! Soutenez-nous ! » Africultures, qui édite depuis sa création en 1997 la revue trimestrielle Africultures ainsi que le bimestriel gratuit Afriscope depuis 2007, risque de disparaître.
L’association, qui s’est donné pour vocation de documenter et d’informer sur les cultures africaines et leurs diasporas aussi bien en France que sur le continent noir, traverse des difficultés au point où c’est désormais la justice qui décidera mercredi 21 février de sa capacité à se redresser et, de ce fait, de son avenir.
« Dans un contexte où des subventions historiques se tarissent, où les emplois aidés sont supprimés, où notre support média ne jouit pas des aides accordées à la presse, dans un contexte où un soutien de l’Union européenne, pour un projet en préparation depuis plus d’un an, tarde à aboutir », l’association a lancé cette semaine un appel à soutenir de ses activités « nécessaire(s) dans le paysage médiatique et culturel ».
Une centaine de personnalités ont d’ores et déjà signé l’appel, parmi lesquels la réalisatrice Rokhaya Diallo, l’écrivaine Aya Cissoko, l’historien Amzat Boukari-Yabara, le fondateur de la revue D’ailleurs et d’ici Marc Cheb Sun, le président du Conseil représentatif des associations noires de France (CRAN) Louis-Georges Tin, la porte-parole du comité La Vérité pour Adama Assa Traoré, ou encore la politologue Françoise Vergès.
L’association, qui s’est donné pour vocation de documenter et d’informer sur les cultures africaines et leurs diasporas aussi bien en France que sur le continent noir, traverse des difficultés au point où c’est désormais la justice qui décidera mercredi 21 février de sa capacité à se redresser et, de ce fait, de son avenir.
« Dans un contexte où des subventions historiques se tarissent, où les emplois aidés sont supprimés, où notre support média ne jouit pas des aides accordées à la presse, dans un contexte où un soutien de l’Union européenne, pour un projet en préparation depuis plus d’un an, tarde à aboutir », l’association a lancé cette semaine un appel à soutenir de ses activités « nécessaire(s) dans le paysage médiatique et culturel ».
Une centaine de personnalités ont d’ores et déjà signé l’appel, parmi lesquels la réalisatrice Rokhaya Diallo, l’écrivaine Aya Cissoko, l’historien Amzat Boukari-Yabara, le fondateur de la revue D’ailleurs et d’ici Marc Cheb Sun, le président du Conseil représentatif des associations noires de France (CRAN) Louis-Georges Tin, la porte-parole du comité La Vérité pour Adama Assa Traoré, ou encore la politologue Françoise Vergès.