AVS à la recherche de solutions pour l'Aïd al-Adha... 2019. Deux jours avant le début de l’Aïd al-Adha 2018 fixé au mardi 21 août, l'association a indiqué avoir récemment rencontré la Fédération nationale ovine (FNO) « pour réfléchir à la mise en place d’une traçabilité sérieuse qui garantirait l’âge du mouton à sacrifier » pour les années prochaines, par suite de sa décision de ne pas sacrifier d’ovins pour l’Aïd el-Kébir cette année.
« Considérant l’importance de ce rite, AVS n’en est pas resté à cette triste constatation », a affirmé l’agence de certification halal dans un communiqué dans lequel elle fait l’éloge du bio. « L’élevage bio a le triple avantage de garantir la traçabilité (et donc l’âge exacte) et la très bonne santé du mouton tout en mettant à la vente les bêtes que lorsqu’elles sont bien formés, c’est-à-dire généralement après qu’elles aient dépassé l’âge minimal requis par le rite islamique », fait valoir AVS.
Lire aussi : Aïd al-Adha - Tareq Oubrou : « Les animaux sont des êtres spirituels »
Pour le moment, AVS n'écarte pas des solutions « industrielles », qui demeurent « temporaires ». « Lorsque l’un de nos partenaires bouchers dit avoir réussi à commander une certaine quantité de moutons ayant l’âge requis en Irlande, un contrôleur AVS est dépêché sur place pour contrôler l’âge des bêtes (à travers leur dentition) une par une », fait savoir AVS en relayant la vidéo d’une rencontre avec un éleveur (plus bas).
« Les bêtes validées sont marquées car, quand elles arriveront en France, elles seront de nouveau contrôlées pour vérifier si elles sont toujours en bonne santé et nos contrôleurs assisteront aux sacrifices de ces bêtes après la prière de l’AÏd comme le stipule le rite islamique », précise-t-on.
La consommation halal bio n'est pas encore ancrée dans les habitudes d'une majorité des ménages musulmans mais elle constitue bien une solution à considérer sérieusement, ne serait-ce qu'occasionnellement, aussi bien pour la santé humaine qu'animale ainsi que pour la préservation de l'environnement. L'Aïd al-Adha doit être une de ces occasions qui nous rappelle l'importance de consommer responsable.
« Considérant l’importance de ce rite, AVS n’en est pas resté à cette triste constatation », a affirmé l’agence de certification halal dans un communiqué dans lequel elle fait l’éloge du bio. « L’élevage bio a le triple avantage de garantir la traçabilité (et donc l’âge exacte) et la très bonne santé du mouton tout en mettant à la vente les bêtes que lorsqu’elles sont bien formés, c’est-à-dire généralement après qu’elles aient dépassé l’âge minimal requis par le rite islamique », fait valoir AVS.
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Pour le moment, AVS n'écarte pas des solutions « industrielles », qui demeurent « temporaires ». « Lorsque l’un de nos partenaires bouchers dit avoir réussi à commander une certaine quantité de moutons ayant l’âge requis en Irlande, un contrôleur AVS est dépêché sur place pour contrôler l’âge des bêtes (à travers leur dentition) une par une », fait savoir AVS en relayant la vidéo d’une rencontre avec un éleveur (plus bas).
« Les bêtes validées sont marquées car, quand elles arriveront en France, elles seront de nouveau contrôlées pour vérifier si elles sont toujours en bonne santé et nos contrôleurs assisteront aux sacrifices de ces bêtes après la prière de l’AÏd comme le stipule le rite islamique », précise-t-on.
La consommation halal bio n'est pas encore ancrée dans les habitudes d'une majorité des ménages musulmans mais elle constitue bien une solution à considérer sérieusement, ne serait-ce qu'occasionnellement, aussi bien pour la santé humaine qu'animale ainsi que pour la préservation de l'environnement. L'Aïd al-Adha doit être une de ces occasions qui nous rappelle l'importance de consommer responsable.