Ça y est, c’est dit, l’Aïd est fixé au vendredi 27 novembre ; entre ceux qui contestent la date mais l’acceptent finalement − parce qu’ils n’ont pas le choix en réalité − et ceux qui s’organisent, l’Aïd est la fête qui demande de s’y prendre à l’avance afin que tout soit parfait.
Comme chaque année, la fête du sacrifice implique de trouver la belle bête, celle que l’on va immoler en hommage à Abraham et à son fils Ismaël. Les uns s’interrogent sur la façon de procéder, les autres savent d’emblée que le sacrifice sera offert aux nécessiteux. Les fermes sont visitées, les responsables d’abattoir sollicités, on essaie de trouver le moyen de respecter la tradition dans les meilleures conditions, mais pas facile pour certains d’y arriver.
Entre frustration et colère, on essaie à tout prix de parvenir à une solution respectueuse de la tradition et qui ne nous met pas dans l’embarras. Des formules sont aujourd’hui proposées : livraison à domicile de la bête, abattoir temporaire… du moment que le sacrifice a lieu le jour de l’Aïd.
Pendant ce temps, on s’organise à la maison et l’on sent l’atmosphère de l’Aïd qui plane entre la préparation des petits fours, l’achat des nouveaux vêtements et celui des cadeaux. Petits et grands sont mis à contribution. On ressent déjà les joies de l’Aïd et l’on se démène pour que tout soit nickel.
Cette fête est avant tout la fête du partage car, comme chacun sait, une fois le sacrifice effectué, la bête doit être divisée en trois parties : une pour soi et sa famille, une pour les indigents et une pour les proches (amis, voisins…). Et que le voisin soit musulman ou pas, celui-ci a droit aux mets concoctés ce jour-là ou aux assiettes de gâteaux soigneusement préparées.
La fête du sacrifice est d’autant plus réussie quand elle réunit ; et c’est le moment de resserrer les liens avec les proches ou de reprendre contact avec ceux que l’on a perdu de vue. Le sens du partage prend alors tout son sens : au-delà de la bonne cuisine et du boulfaf, ce que l’on célèbre avant tout, c’est la fraternité. Des étreintes dans l’enceinte de la mosquée aux sourires sur le chemin du retour, l’Aïd se vit alors comme un jour béni.
Et pour en profiter à fond, on ne manquera pas de déléguer au maximum, histoire de ne pas se retrouver à tout faire : de l’achat des cadeaux à la cuisine, en passant par le rangement, tout le monde est mis à contribution, même les plus petits.
Joyeux Aïd à toutes et à tous ! Et surtout ne manquez pas de profiter des premiers jours du mois de dhû-al-Hijja : ce n’est pas toute l’année que les mauvais points sont effacés et pardonnés !
Comme chaque année, la fête du sacrifice implique de trouver la belle bête, celle que l’on va immoler en hommage à Abraham et à son fils Ismaël. Les uns s’interrogent sur la façon de procéder, les autres savent d’emblée que le sacrifice sera offert aux nécessiteux. Les fermes sont visitées, les responsables d’abattoir sollicités, on essaie de trouver le moyen de respecter la tradition dans les meilleures conditions, mais pas facile pour certains d’y arriver.
Entre frustration et colère, on essaie à tout prix de parvenir à une solution respectueuse de la tradition et qui ne nous met pas dans l’embarras. Des formules sont aujourd’hui proposées : livraison à domicile de la bête, abattoir temporaire… du moment que le sacrifice a lieu le jour de l’Aïd.
Pendant ce temps, on s’organise à la maison et l’on sent l’atmosphère de l’Aïd qui plane entre la préparation des petits fours, l’achat des nouveaux vêtements et celui des cadeaux. Petits et grands sont mis à contribution. On ressent déjà les joies de l’Aïd et l’on se démène pour que tout soit nickel.
Cette fête est avant tout la fête du partage car, comme chacun sait, une fois le sacrifice effectué, la bête doit être divisée en trois parties : une pour soi et sa famille, une pour les indigents et une pour les proches (amis, voisins…). Et que le voisin soit musulman ou pas, celui-ci a droit aux mets concoctés ce jour-là ou aux assiettes de gâteaux soigneusement préparées.
La fête du sacrifice est d’autant plus réussie quand elle réunit ; et c’est le moment de resserrer les liens avec les proches ou de reprendre contact avec ceux que l’on a perdu de vue. Le sens du partage prend alors tout son sens : au-delà de la bonne cuisine et du boulfaf, ce que l’on célèbre avant tout, c’est la fraternité. Des étreintes dans l’enceinte de la mosquée aux sourires sur le chemin du retour, l’Aïd se vit alors comme un jour béni.
Et pour en profiter à fond, on ne manquera pas de déléguer au maximum, histoire de ne pas se retrouver à tout faire : de l’achat des cadeaux à la cuisine, en passant par le rangement, tout le monde est mis à contribution, même les plus petits.
Joyeux Aïd à toutes et à tous ! Et surtout ne manquez pas de profiter des premiers jours du mois de dhû-al-Hijja : ce n’est pas toute l’année que les mauvais points sont effacés et pardonnés !
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