Samedi, le Premier ministre algérien Abdelaziz Belkhadem a déclaré lors d'un entretien à la presse que les leaders du Front Islamique du Salut (FIS), aujourd'hui interdit, ne seront pas autorisés à se présenter aux élections législatives prévues pour le 17 mai.
Selon cette déclaration, le FIS "n'existe plus en tant que parti légal et actif sur la scène politique algérienne". M. Belkhadem a réitéré que la Charte pour la Paix et la Réconciliation Nationale était claire, en "interdisant à quiconque ayant été impliqué dans le crise politique des quatorze dernières années de participer activement à l'activité politique du pays".
En début de semaine dernière, M. Belkhadem avait annoncé à la télévision nationale qu'une commission nationale chargée de la préparation des élections législatives, la CNISEL, serait mise en place dès l'annonce des candidatures. "En plus de la surveillance du processus électoral, la CNISEL permettra de réguler la campagne des élections, en donnant à chaque parti un calendrier d'apparition dans les médias audiovisuels", a-t-il déclaré.
Cette commission sera "indépendante" et comprendra des membres de toutes les formations politiques.
Selon cette déclaration, le FIS "n'existe plus en tant que parti légal et actif sur la scène politique algérienne". M. Belkhadem a réitéré que la Charte pour la Paix et la Réconciliation Nationale était claire, en "interdisant à quiconque ayant été impliqué dans le crise politique des quatorze dernières années de participer activement à l'activité politique du pays".
En début de semaine dernière, M. Belkhadem avait annoncé à la télévision nationale qu'une commission nationale chargée de la préparation des élections législatives, la CNISEL, serait mise en place dès l'annonce des candidatures. "En plus de la surveillance du processus électoral, la CNISEL permettra de réguler la campagne des élections, en donnant à chaque parti un calendrier d'apparition dans les médias audiovisuels", a-t-il déclaré.
Cette commission sera "indépendante" et comprendra des membres de toutes les formations politiques.